un appel au secour...

Alors que la nuit s’abattais sur le royaume du nord un loup blanc à la tête noire passa l’orêt du bois proche de la capitale. Il portaissur son dos un être aussi grand qu’un enfant.

Ce dernier étais recouvert de sang et inconscient. Ces vêtements étaient déchirés et son torse nue recouvert de balaffre. Il tenait dans sa main une dague qui était par la même attaché à son poigné par une chaine en or.

Le loup qui répondait au nom de SPERED se glissa dans la cité sans se faire voir les gens restais de glace devant lui, Il ne présentait aucun signe d’agréssivité. Les gens le regardait comme étonné et les murmures puvait se faire entendre parmis les quelques personnes présentent. SPERED vint déposé l’être sur le rebord d’une fontaine, au milieu d’une place fermé.

C’est être en question c’étais moi Penn-Duick ar penn ar bed druide de bastringage qui avait disparu quelques jours au paravant dans une crevasse créer par un arbre divin.

C’est dans mon language que je m’adressis à mon ami.
« Là Spered, là. Laisse moi ici et part prevenir Le capitaine Renart de ma situation. »

Surc’est mot le loup hurla à la lune effrayant les curieux se reculant ou rentrant dans leurs habitats. Puis après quelques longues secondes il disparu en courant dans la pénombre d’une ruel.

Je restais immobile pour ma part, incapable de me relever. Les gens commencère à s’approcher discrètement de moi et j’utilisi mes dernières forces pour décliner ces mots faiblement.

« Aide, au nom de notre mère à tous, aidé moi. Dame Favole, Messire Methusalh.. à moi."

**Plus tard, à Bastringage, une sorte de gros chien réveille le Capitaine pendant la siesta:

"- Ouaf! ouaf!
- Dégage sale cabot!!"

MAIS apparemment le chien, en fait un loup à bien y regarder, avait quelque chose à lui dire à la façon dont il insistait et c'est en y prêtant mieux l'oreille que le Capitaine comprit:
"- Ouaf ouuuaf waf! Waff!
- Comment?! Tu es sûr?? Chez le marchand il y a des réductions sur les armes et armures?!
- Wuf! Wuf! Wuf!
- Hmm... hmm... les nouveaux commerçant... Oui, je vois.
- Ouagnouf rognufi fougnou!
- Ah non, là par contre j'ai rien compris..."

* toujours a la recherche des cheveaux fantomes de Renart passe par là et ecoute*

"Vous ne savez même pas parler le loup, lamentable..."

* sans m'arreter je repars dans ma quete a la recherche de ces soit disant chevaux édité au tour 1986 par MinuitDarden

Favole était là auprès de Penn Duick, spectateur muet et invisible.
Le sort était cruel l’obliger a voir, à être témoin, et de ne pas pouvoir intervenir. Elle le prit dans ses bras intangibles et du seuil de la mort lui glissa des mots réconfortant pour guider son âmes a rester dans ce corps.

Elle appelait de tout ses pensées Chimère, Zell, Arwen, Iacchos… les seuls avec qui elle pouvait peut être encore communiquer. Mais le temps était compté pour le petit korriganed.

Doucement elle se mit a fredonner une chanson qui lui revint… Bro gozh ma zadoù en espérant apaiser l’âme de Penn Duick en attendant les secours.

UN sourire de reconfort s'afficha sur le visage du korrigan. Quand il ouvrit les yeux, ce n'est pas favole qu'il voyait mais son spectre. Un être doux et chaleureux, l'image parfaite du coeur de cette Dame.

Mais si c'est le spectre déscendu du mon dréel que je voyais ou était l'envellope corporelle. effrayer de ce qu'il pouvait être arriver a la dame qui lui étais maintenant ami, Le korrigan retomba inconscient et son corps bascula dans la fontaine.

Arwën ressentit un profond trouble dans son esprit...
Il dormait profondément au milieu du désert avec Kybeau son destrier, ils avaient fait halte pour la nuit...
Il ressentait cette présence...elle qui tentait de communiquer avec lui...
------
Quelques jours auparavant, il avait ressenti une profonde douleur en plein milieu de l après midi alors qu il s adonnait à ses tâches journalières de Commandant du Guet...
Cette douleur l avait tout d abord imobilisé puis, il s y était plus ou moins habitué et fesait avec...
Quelques jours plus tard, il ressentit comme un déchirement profond dans sa poitrine, il n avait voulu se rendre à l infirmerie, sachant que ses maux n avaient rien de clinique...et préféré de mander son cheval à l écurie, il devait partir dans le désert, essayer de voir ce qui se passait...

Il avait donc quitté la cité du Nord au petit matin, ne laissant d explication à personne...
Il savait le régent revenu du Bastringage et avait aussi remarqué le départ de deux chevaliers en voyant des boxes vides à l écurie, le cheval du Lord Eärendur était absent, celui du Grand Septon était bien là mais il était introuvable...
Puis, il avait suivi les traces de fers qu il avait pu trouver...
Ils se dirigeaient droit vers le Sud et c ,est là qu il se rendait donc.

Il se déplacait doucement, pour préserver sa monture mais aussi pour s accomoder de sa douleur.
Quelques jours après son départ, il avait ressenti une douleur supplémentaire, mais cette douleur avait un arrière fond de soulagement...
Il ne compenait ap pourquoi il avait si mal, cela était probablement du à sa liaison privilégiée avec une certaine espèce animale mais il n en aurait le coeur net qu une fois qu il aurait découvers les raisons de son mal.

Il avait fait halte dans une prairie acueillante avec Kybeau et s était assoupi quand il ressentit cette présence...
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Il s éveilla en sursaut et les vit, deux brigants se tenaient auprès de Kybeau et semblaient en vouloir à ses sacoches pleines de victuailles...
Il avait laissé Kybeau errait à son aise dans cette prairie et ils ne l avaient certainement pas vu, omnubilés par ce trésor...
Il s alongea sur le ventre et attrapa son arc...
Après avoir ouvert son angle de tir, il lanca deux flèches meurtrières qui débarassèrent sa monture de ses perturbateurs...

Il scruta les alentours à la recherche d autres membres de la bande amis ne vit personne...
Il était temps de partir et il reprit son chemin, les traces qu il suivait continuaient toujours plus inéxorablement en direction du Sud...

Une fois sur un sentier, il se rappela la cause de son éveil et tenta d entrer en contact avec l esprit.

Favole était désespérée, d’un coté l’eau froide allait ralentir le rythme cardiaque, la douleur et éviter les risques d’hémorragies mais en contrepartie il allait mourir de froid.

Elle essaya en vain de l’attraper. Mais ses bras passaient au travers.
A quoi cela servait il d’être ici si on ne pouvait rien faire ?!!!


Elle n’avait pas le choix, il fallait qu’elle le fasse… Elle fit le vide dans sa esprit et se concentra, Arwen était loin, Zell encore plus avec Jim, et.. Chimère ? Oui Chimère était juste a coté dans la ville !

Le dragon n’aimait pas Favole, et vu ce qu’elle comptait faire ça n’allait pas arranger les choses. Cela ne servait à rien de lui demander gentiment, elle connaissait la réponse.

Elle se déversa psychiquement dans l’esprit du Dragon, avec difficulté, il n’était pas d’accord pour ce contrôle mentale.


Sous les yeux des passants médusés, l’énorme dragon divin rouge vif se posa avec une souplesse quasi irréelle pour une créature de cette taille sur le bord de la fontaine. Il plongea sa pattes dans les eau glacé pour ressortir le petit corps de Penn Duick.

Il était sauf. Ouf.

Le dragon se tourna et plongea ses yeux dans ceux du fantôme de Favole. Des yeux mauves, des yeux terrifiants… Favole frissonna, lui la voyait et elle ne doutait pas qu’il pouvait encore lui faire du mal.


Elle relâcha son contrôle doucement, comme on se recule fasse a un serpent.

C’est a ce moment qu’elle sentit un esprit la cherchant elle. Tout en libérant le dragon, elle intensifia le lien.

Arwen !

Elle n’arrivait pas a passer des mots, et fut peut être violente dans les sentiments qu’elle essaya de lui transmettre. L’angoisse, la frustration d’être coincée ici, la peur de Lylith qui rodait, le froid omnipresent… l’envie d’être auprès de Magnus… l’inquiétude pour Jim…

Un rapport venait d’arriver, un dragon rouge venait d’être vu à coté de l’hôpital. Un dragon rouge, Chimère en train de se promener ? Cela ne lui ressemblait pas… nan pas encore cette greluche de Favole, pas à cette distance…bon le plus simple c’était d’allé voir sur place.

Posé au soleil Chimère sommeillait comme si rien n’était. Je m’approchais de lui. Il me jeta un petit coup d’œil puis se rendormit.
Un garde en faction devant l’hôpital m’informa que Chimère avait apporté une chose bizarre, de la taille d’un nain mais encore plus moche, qui avait l’air dans un sale état.

De la taille d’un nain mais encore plus moche…hum hum cela ressemblerait à un gnome, mais le seul gnome que je connais est humain, et ressemble à une belette. Bon plus qu’à aller voir qui c’est.

Je demandais à la première infirmière que je croiserais où était l’inconnu. J’entrais dans la chambre, et ce qui se trouvait dans le lit n’était effectivement pas bien gros. En me rapprochant plus prés je le reconnu… mais que pouvait-il bien faire ici ?!

Je sens que les emmerdes vont pas tarder…

Je prenais ma chaise et m’installer prés du lit, l’infirmière m’avait qu’il devait bientôt se réveiller, et puis personne ne viendrait me chercher ici.


édité au tour 1987 par Methusaleah

J'ouvri les yeux avec grande peine et pratiquement incapable de bouger. Lorsque je revins doucement à la raison, je vis un homme à mon chevet. Mais mes yeux étais trop lourd pour pouvoir le reconnaitre, tous étais trouble et des image apparaisait de temps à autre, les image du couloir souterrain. Je courrais dedans regardant derrière moi comme poursuivie, par un démon.

" Penn-Duickkkkkk, Penn-Duickkkk!!!"~~ une voie roque et vielle résonnait dans ma tête, m'appellant au loin.~~

"Heuuinnn" (bruit emmergeant d'un réveille en sursaut)

Je me dressis d'un bon dans mon lit cherchant de tout côté ma dague. Malheureusement toujours incapable de dinstingué quoique ce soit je m'affolais.

" Par le mont dréel Armornaël ou es tu?? Qui êtes vous? ou suis-je? SPERED! SPERED! Ou est tu mon vielle ami?"

Je m'agitais dans tous les sens cherchant désespérement à connaitre les faits passer. Les infirmières tenter de me maintenir calme mais je m'agitais au mieux en criant:

" Que la mort m'emporte avant que je vous laisse mon esprit démon, Vos arbre enragée n'aurons pas raison de la vague de rage qui me soutiens."

Par je ne sais quel moyen je réussi à me glisser or de mon lit, Je courru temps bien que mal trébuchant devant chaque obstacle et me dirigeant vers une source de lumière pensant bien qu'il s'agissait d'une ouverture sur le ciel et donc une sorti de cette caverne. Alors que je courrais encore je me radi et stoppi tout mouvement à l'entende d'une voie.

"PILOUX"

Je la reconnaissais cette voie si douce ne pouvais prevenir que d'une personne, LYLI mon aimé. Avant même d'avoir fini d'analyser je pouvais voir une lumière aussi douce que le reflet du soleil dans l'eau turquoise de la mer de mon enfance.

Lyli s'approchais de moi et au fur et a mesure de ses pas son visage se formait dans la lumière mais aussi trouble qu'autre fois quand je ne pouvait la voir qu'à travers la surface de l'eau.

Elle s'agenouilla pour se mettre a mes côter et m'allonger dans ses bras.

"Piloux, pourquoi toujours vouloir l'impossible? regarde toi! Ton est plus recouvert de cicatrice et plus diforme et les rochers jonchant nos côtes.

- Lyli commenttt est-ce possible? Que fais-tu dans cette caverne? On doit sortir vite!! Je l'ai lyli! j'ai sauver son âme il est en moi, Je dois lui trouver un nouveau corps!!

- Là là! doucement tous vas bien tu est sauf mais tu dois te reposer.

- Non je dois sortir de cette endroit je dois retrouver Armornaël au MOnt Dréel.

- Armornaël n'est plus Piloux, il à quitter le mont ne laissant que ses victimes, ça place est en mer et non sur ce mont.

- JE dois repartir en mer alors!

-Doucement Korrigan, tu reverras la mer mais pour le moment reste à mes côtés.

- Je, Jeeee"

Il m'était impossible de continuer je retombis dans le sommeil involontaire déposant ma tête violement sur le bras de LYLi.

" Qu'on vienne m'aider à le remettre dans son lit, et pars la mer en furie attacher le, il finirra par ce tuer sinon."

Les infirmières courru récupérer mon corps, et lyli s'asseilla comme atristé de voir le sang sur ses vêtements, sang provenant de quelques plait s'étant réouverte. quand elle revint à elle après quelques longues secondes, elle reconnu en face d'elle le régent, ni une ni deux elle se prosterna s'agenouillant à ses pieds tête baissé.

"- Wouf! Waouf! Grrrrrr!!
- Pirate... en six lettres, avec mot compte triple... Rhaaa! Pas mal! Tu passes à 125!
- Wof! Oouof!
- Comment ça je triche?!"

Pendant que mon corps restais inconscient mon esprit divaguais et remetttais les idées en place. L'âme de l'arbre, la quête! ça revenais.

SPERED qjui étais partis prevenir renart que j'étais vivant j'espère qu'il avait passer le message.

Je m'atardie à tenter de communiquer avec lui.

"Spered, vient me rejoindre il me faut retourner au bastringage, préviens renart de rester sur ces gardes, L'arbre n'est pas mort et loin de là"

"- Waouuuuuf!! Waf waf Griouaf!
- Tu plaisantes j'espère? Haha! Elle est bonne celle-là! Je te ressers?
- Wouf.
- Sérieux? Allez, un dernier, pour la route...
- Ouarf!
- Haha! Je préfère ça!"

Arwën avait reprit sa chevauchée sur les traces du Lord...
Une douleur le transpercit de part en part...le faisant choir de sa monture, grogi au sol il se recroquevilla sous les grands yeux interrogateurs de Kybeau.
Une vague traversa son esprit, puis une autre, celà lui réclamait une concentration extrème, il vit des formes, des concepts, mais ils restèrent flous pour lui...des noms lui traversèrent l esprit...Lylith, Magnus...ces noms qu il avait connu, ces noms qui n avaient que Favole comme point commun...
Une frèle image de jeune homme apparut, et beaucoup d inquiétude, trop d angoisse...oui, il s agissait bien de Favole, c était elle qui entrait en contact avec lui.
Puis il eu froid très froid et perdit connaissance.

Le réveil fut douloureux, les effets de sa chute commencaient de se faire sentir...
Son esprit était flou et comme vidé, il apperçut Kybeau penché sur lui, les fers ensanglantés, un petit être sauvage piétiné en retrait...il le lécha pour le rammener à la raison.
Arwën se levit et remonta sur Kybeau, le sauvage était décéédé de la suite de ses blessures.
Allons mon fidèle destrier, nous devons au plus vite trouver la cause de mes évanouissements, je crois que c est plus ou moins lié à Dame Favole, nous en auont bientôt le coeur net.

Ellenthiel arrive dans l'infirmerie suivie d'une infirmière
-"Il aurait fallu venir me chercher plutôt, il est ou?"
L'infirmière l'emmena devant Penn Duick. Une femme et Ser Methusaleah étaient présents à son chevet mais ce n'était pas le moment de parler, la jeune femme lui fit un bref diagnostique, la médecin fronce les sourcils et demande immédiatement du fil, une aiguille, des pansements et un espèce de baume nauséabond. Après l'avoir recousu et appliqué le baume, Ellen le fit envoyer dans une autre chambre plus calme elle prit une chaise et s'installa au près de lui.
-"Je veux au minimum une infirmière en permanence avec lui, personne d'autre ne doit venir le voir, il doit rester se reposer. Je reste ici un moment et si quelqu'un a besoin de moi ou si quelqu'un veut le voir qu'on vienne me chercher, c'est compris? Oh! Seuls la femme qui était la et Ser Methusaleah peuvent venir"
L'infirmière hocha la tête et partit sans un bruit, la médecin se tourna vers Penn Duick. Il ne restait plus qu'à attendre...

Une otarie, un peu deshydratée, sur le dos d'un bébé dragon, un peu depressif, arriverent dans la piece au chevet de Penn Duick.

L'equipe de secour qui sert a rien etait arrivée.


(hrp, je vous laisse les gerer)

édité au tour 1989 par JimHawkins édité au tour 1989 par JimHawkins

Ellenthiel Lyli et le regent se tenais à mes côté quand zele arriva à la fenetre y déposant L'otarie stache qui sans perdre de temps sauta sur le lit pour me lecher les oreilles. "HONG HONG"

" Arrête, arrête c'est bon je suis reveiller tu sais que je ne supporte pas ça qu'on touche mes oreilles."

Lyli s'empara de l'animal et le prenna dans ses bras. J'étais encore incapable de bouger. Plus le temps avançait et plus l'esprit de l'arbre ôte de mon corps prenait de la place et régidifiait mon corp.

Lyli s'assis sur le lit

"Qui est là? Renart?"

Après quelques secondes Lyli caressa mon visage et s'en allant a touché mes oreilles mais de façon a ne pas me provoqué de peine. c'est ainsi que je la reconnue seul elle dans ce monde pouvait le faire.

"Lyli tu es là! Mais je croyais que..
- Chuttt calme j'ai réfléchi.
- Lyli je dois Rejoindre le régent d'urgence."

Sans attendre de réponse je tenta de sortir de ma couche, mais avec mes muscles pétrifié la seul chose que je réussi à faire c'est tomber au sol.

" Sir Penn-duick" Déclina le Régent en me rattrapantau sol.

"Je suis là que c'est t'il passé?
- Là n'est pas le problème présent je vous expliquerai plus tard. Je dois vous demander un grand service.
- Parler sir.
- Je dois me rendre de toute urgence auprès d'un arbre mort.Un arbre de grande taille et ancien.
-Bien sur mais pour quoi faire?
- Je dois y déposer l'âme de l'ent qui partage mon corps pour le moment.
- Vous voulez laisser un ent dans mon royaume?
-Ce n'est pas exactement un ent, c'est un esprit. Il a besoin d'un corp, un arbre, il ne sera pas capable de bouger juste de parler.
- bon je vous fais confiance, je vais envoyer des hommes à la recherched'un tel arbre. de plus maintenant que vous êtes reveiller je me dois de retourner à mes occupations.
- Faite mon seigneur, mais faite vite car je me meur."

l regent quitta la pièce et Ellenthiel et Lyli s'approchère. de moi. Ellenthiel ne connaissait pas lyli comme moi je ne connaissait pas ce médecin. Après avoir éffectuer les presentations Lyli s'énerva en voyant la médecin me sourire et s'occuper de moi. Prise de colère elle déclina ne plus rien avoir a faire ici et nous laisser à nos discussions, et quitta la pièce en pleure laissant tomber l'otarie au sol.cette dernière qui dormais eu un drôle de reveille et sauta sur le lit

sur son chemin elle bouscula Demether.

"Lyli non revient!! Escuser la dame Ellen elle est de nature inpulsive.
-QUI est-ce? **s'exprima demether avec son aire serrein a son habitude.**
- DEMETHER serais-toi mon ami?
- oui korrigan c'est moi.
- mais que bougre d'âne fais tu là?
- j'ai appris ta réaparition alors je passe au nouvelle.
-AÏE!!! tiens bah comme tu est là laisse moi te présenter le médecin du rdn, dame Ellenthiel."

Après s'être présenter l'un à l'autre ils se mirent à se sourire et blalblaté. Pendant que Ellenthiel me soignait Demether e déplacait pour lui donner accès au plait. J'avais la tête dans l'oreiller impossible de lui dire que j'étouffais.

Lorsque Ellenthiel eu fini
"Bon je vais vous chercher de quoi faire passez la douleur."
Pas le temps de partir que quand demether me remis sur le dos je retombis de ma couche cognant ma tête sur le coin du lit et retombant dans les vapes.

C'est après un sommeil profond que je me reveillis. Seul Stache se tenais mes côtés et le dragon zèle dormais à la fenetre. J'avais beau appellé persone ne répondais.

Je savais qui m'aiderai,

"Stache, viens là!
- honk honk~~ l'animal sauta à mes côtés se frottant a moi. ~~"

Je lui présenti mon anneau que je portais autour du coup, présent de Lyli, et lui ordonna de partir à la recherchede ma cher morgant et de la ramener à mes côtés.

Après quelques heures d'absence une personne rentris dans ma chambre, avec un pas non rassuré.

" en quoi pourrais-je te nuïr LYli? T'ai-je déja dessus.
- Hier encore,
- Voyons Lyli, elle est medecin, je ne la connais pas.
- Et alors en quoi est-ce un probème pour toi?
- Arretons tu veux! pour le moment jai besoin de ton aide."

Lyli se joingna à moi s'assis sur le rebord de mon lit et m'écouta avec attention.

Après quelques minutes, elle quitta la chambre quelques minutes et revint avec une chaise roulantes en bois.

"Et bien dis donc ça à l'air de bien marché, surment pas une création du chauve!"

Elle m'enbarqua sur lefauteuil et me conduit discretement jusqu'au porte du palais, ou je demandi a rencontrer le régent.

Alors que j'attendais au porte du palais, un garde arriva a cheval portant la nouvelle qu'il avait trouver un arbre comme je cherchais.

Il avais signaler son retour au garde du palais devant moi ainsi je pu entendre la nouvelle.

"Garde serais-ce d'un viel arbre mort que tu parle
- Oui pauvre homme.
- Attention à tes mots, je ne suis pas homme de ton peuple et bien que je sois incapable de te le prouvé aujourd'hui , tes mots me vexe et pourraient te porter préjudice futur. Conduis nous à cet arbre car c'est pour moi que tu à été envoyé à ça recherche.
- Mais je dois tous d'abord en parler à mon régent.
- Ecoute je suis Sir Penn-duick de bastringage et si tu ne porte pas desuite à cet arbre je vais y laisser ma peau. Je ne pense pas que mais ami pirate apprécierai de savoir que à cause de toi leur druide est mort."

Après un bref instant d'ésitation, le Garde déclina que si je suis vraiment qui je prétant le régent ne lui portrait pas préjudice qu'il me conduise.

ainsi il nous mena auprès de l'arbre en question. PARFAIT, il était parfait un vieux chêne ayant encore des branches robuste mais dévétu de feuillage.

L'esprit de l'ent grognait car les arbres proches avait l'air jeune. Je lui répondit que si il était pas content on pouvait les coupé ainsi il serait tous seul.

Je m'appretit à la cérémonie de transfer et demandis à ce qu'on me laisse seul. Lyliresterai avec moi pour me supporter.

De l'autre coté de l'hopital, Demether tenait dans sa main une assiette bien garnie et chaude que lui avait donné Ellenthiel en guise de repas.
Regardant l'assiette avec satisfaction, le pretre sortit du batiment pour embrasser les bourrasques hivernales continuelles du Royaume du Nord.

L'acariâtre cherchait désespérement un pathétique garde pour lui donner le repas et l'amadouer, contre quelques informations au sujet de Penn Duick et de son...."accident".

Il était tard, et personne sur les murailles pour guetter.
"Au moins ils ont un point en commun avec Bastringage...Ils finissent aussi tôt leurs tours de gardes..."


Le pretre s'assit sur le rebord d'une fontaine, à moitié gelée, l'assiette posée à coté.

Puis le vent se fit plus fort, irrégulier, et tournoyant. Mais cela ne surprenait pas Demether qui voulait connaitre la vérité sur "l'accident".

Au milieu des bourrasques incessantes, il crut entendre un rire féminin.
Après tout il y avait que des maisons autour de la fontaine, il faisait froid, et les gardes étaient rentrés chez eux.
C'était surement....


"BAF"


La main du pretre venait soudainement de plonger dans la neige épaisse, manquant de renverser l'assiette de peu.

A peine eut-il temps de comprendre le pourquoi du comment, son doigt commençait à tracer des lignes dans le manteau blanc de la place de la fontaine. Il était manipulé par une force extérieure, mais il ne résistait pas.
A quoi bon?

Les lignes firent place à des lettres, puis les lettres aux mots:

Prévenir Renart femme amoureuse


"pfff....." Ce soupir en disait long sur l'ignorance qu'il portait à ce message.
Le vent redoublait de force et commençait à effacer les inscriptions.

La glace jusqu'aux os, la main de Demether repartit de plus belle à faire joujou dans la neige

danger tuer


"Sans rire..."

Mais d'un autre coté, les esprits n'étaient pas du genre à se mêler d'une affaire d'amour comme cela, sans raison. De plus les deux derniers mots étaient censés faire réagir le vampire.
Ce dernier comprit qu'il n'avait pas le choix.

Le vent se calma précipitamment.

Le pretre prit la direction du Sud sans se retourner sans penser qu'il abandonnait une mission pour une autre.
"Prévenir Renart femme amoureuse danger tuer".

Demether soupira à l'idée que Renart comprendrait aussi bien le sens de ces mots que "Lutin théière bougie"...
La silhouette sombre du vampire se fit engloutir par le manteau neigeux, maitre des lieux.

Je me rapprochi de l'arbre et déposa ma main sur le tronc. en queqlues secondes de petites branches vertes commencere a ce faire voir sur les branches.

Je suis incapable de d'écrire la suite mon corps tomba et je me reveilli comme tous neuf avec un mal de crâne similaire as un retour de cuite puissance dix.

Le plus important je pouvais bouger mais j'étais encore aveugle.

"Lyli je suis vivant, il ma quitté ou es-tu?
- là je suis là, Un animal est arriver pour toi une sorte d'oiseau qui parle.
- Droaobut?
-cocoi???
- oulala, c'est pas bon signe. vas-y parle triple buse.

- ecoute moi espece de volatile delivre se message à Pine d'huitre. Reviens au port ça chauffe ici. hasta prompto amigo

- Ok encore une bataille de sorti de taverne. Probleme je ne vois rien. Lyli veux tu bien me conduire chez moi
- Mais j'ai mon travaille ici moi§!
- des auberge c'est pas ce qui manque chez nous tu pourrais même avoir la tienne.
-bon je te rammenne mais pas sur que je reste."
nous nous m'étions en marche suivi de zele et stache. Ah oui les animaux

"-Stache, zele retourner aupres de Jim et surveiller le de ma part"

Favole regardait tristement Demether partir. Lylith debout a coté d’elle avait gagné.

Favole voulait les prévenir… Si elle n’avait pas été dégagée par sa maudite sœur… la fin du message était erronée, trop erronée, et au travers des mort présents et passé, elle voyais déjà les horreurs a venir et les cadavres qui s’empilaient et la mort qui se réjouissait.

La guerre était là.

Elle était la bien avant que le volatile n’arrive aux gardes avec cette lettres non signée que tous attendait, bien avant qu’il ne la lise en disant :

« Par les ancêtres, vite transmettez ce plissa Ser Lannister, et prévenez Ser Stark et Ser Earendur des risques… »

Bien avant que le Korriganed quitte le royaume.

Avant le lever du jour il y aurait des morts… et elle ne pourrait que regarder.

Lylith riait de son rire de démente, quand Favole se fondit dans la brume et le vent, se laissant aller vers le lieux ou les premiers sangs allaient couler.

En temps de guerre, le Capitaine donnait les ordres, et Bastringage exécutait.

Lylith devait apprécier cela, et le spectre de Ron pourrait rejoindre celui de Favole à présent.

L'encuirassé avait été conditionné en conserve de concentré de globules rouges, savamment disposé par Juune, la paire de lunettes humide. Le crochet suisse avait frappé, le bras armé de Bastringage s'était exécuté.

**Mais j'y pense... Où est partie Siriane, notamment avec la cassette qui était mienne?** fit l'inventueur mettant les bras de Ron en croix, prêt à attendre l'appel des disciples du Mont Dréel.

Rassemblant ses effets, le brun s'en alla.

j'arrivai au porte de bastringage par le nord au milieu de la nuit et pour un fois le silence reignait. Quel surprise mais bon Lyli n'en serai que plus charmer.

Alors que nous nous presentions à la porte principale une fleche siffla a mes oreilles et vint ce planter dans un cocotier tous proche.

"Qui est l'abruti qui??

-QUI VA Là?** repliqua un garde**

-Penn-duick triple d'habruti on ta jamais apris a parler avant de tirer?"

Ma question était quelque peu ridicule il était pirate pas chevalier en boite de conserve.

"Ouvre les portes et previens le cap de veau de mon arriver, je le rencontrerai à la taverne habituel.

-il n'y est pas il est dans sa cabine avec trois gratte papier."

A cette heure-ci Renart dans sa cabine s'était louche.

Je rentri dans l'intramuros sans probleme. Lyli et moi même descendir de cheval et je ne pouvais rien distinguer, aucun homme dans la rue, s'étais vraiment étrange.

Je me rendis donc à la cabine du capitaine Lyli a mon bras, ou je frappi la porte d'un bon coup de pied en criant

"Maréechosé, Renart t'es serner pose la femme et range ton asticot