Favole jouant dans le sable

Pas de réponse de Messire Renart, Favole n’avait plus qu’a espérer. Ils avaient tué Nalia, ils étaient en droits de se poser des questions sur ses intentions.
Mais de toute façon elle ne pouvait plus faire demi tour et n’avait nul part d’autre ou aller.

Le chemin dans le sables dura plus longtemps que prévue. Même avec ses béquilles elle avait du mal a marcher avec sa jambe blessée.

Et puis les pantalons, on dira ce que l’on voudra, mais c’était vraiment pas pratique. Comment faisaient les hommes pour vivre avec ça ?

Favole eut la chance de croiser quelque caravane et d’échanger ses services de médecins contre des vivres et de l’eau. Tous les voyageurs la prient pour un adolescent efféminé, ce qui la fit passablement sourire.

Les derniers voyageurs avaient même eu la gentillesse de lui permettre de profiter de la charrette et de faire une partie de la route avec eux.

Favole angoissait de plus en plus, ce qu’elle avait entendu sur le Bastringage n’était pas pour la rassurer, et puis contrairement a Siriane elle n’était peu être pas suffisamment avertie pour se débrouiller seule.
Mais au moins elle était sure d’une chose, cela serait le dernier endroit ou on irait la chercher.

Elle espérait qu’Ellenthiel pourrait se ordonner seule l’infirmerie, cela faisait bien longtemps qu’elle aurait du laisser sa place de médecin en chef à la jeune fille, hautement capable.
Pourvu que Biflindi aille mieuxÂ…

Elle évita de penser aux autres, elle continua a marcher comme elle pouvait avec ses béquilles.


édité au tour 1939 par Favole

Libérée la veille, Siriane s'était aussitot enfoncée dans le désert. Elle y avait passé la nuit, remplissant son panier comme si elle faisais ses courses au marché. Il lui fallait un certain type de venin pour endormir Sire Lannister, et si elle voulait mener la mission de Favole à bien, elle devait se dépécher.

Elle était en train de contempler les trois serpents et le deux beaux scorpions qu'elle avait trouvé quand elle recu un message de la dame épouvantail. Froncant les sourcil, elle contempla le collier qui était accompagné, et s'empressa de se rendre à la ligue pour voir ce curieux phénomène. Si dame Favole était trop gourde pour la payer avant le résultat, ce n'était surement pas sa faute, mais cette facon de faire l'etonna.

Elle chercha dans touta la ligue, pour finalement se rendre à l'évidence, Sa tente et ses possessions étaient partie en fumée... Mais curieusement des traces de béquille partaient du camp.......

Ni un ni deux, elle se rendit chez elle pour se préparer. Elle s'habilla de facon pratique mais légère (bah oui elle a sa réputation à défendre), jucha la paire de lunette sur ses yeux, vérifia que son pendentif était toujours la, et parti en direction du désert.

Il était heureux que Siriane eut l'habitude de voyager, car les traces de la dame était légère et le vent rendait la tache ardue.

Elle estima sa progression à quelques heures avant son propre passage. Elle n'allait pas tarder à tomber sur elle. édité au tour 1939 par Siriane édité au tour 1939 par Siriane

Sable et du sable et encore du sable.
Beaucoup de chose s’était passé depuis l’incendie ou Dame Favole disparut,
En rentrant dans sa chambre il recut une missive enigmatique qui lui fit conprendre que Dame Favole était peut être envie.
Quand Magnus partit de la ligue sur le dos de Silver elle était en ébullition, Mais il s’en formalisa peu, tout ce qui lui importait était de trouver Dame Favole, ne fusse même que pour les orphelins, mais surtout pour lui.
Il avait traversé des village et désert, mais toujours rien il ne l’a trouva pas, mais il ne désaperait pas.
Après des jours de marche il arriva dans un oasis près de Bastringage.
Il l’a vit, le cœur de Magnus fit un bon dans sa poitrine, elle était la accroupis entrain de boire.
Magnus ne savais pas comment lui faire sentir sa présence. Il était tellement heureux de la revoir, qu’il tenta une petite plaisanterie.
Il s’approcha par derrière de Dame Favole sans qu’elle le voie et mit ses mains devant les yeux de Dame Favole.

« Coucou qui est la .»

Sur le coup Dame Favole donna un coup a Magnus qui tomba par terre.
Favole se retourna et une expression d’étonnement se dessina sur son visage,
Sur le coup elle tomba dans les pommes, Magnus la prit dans ses bras et la mit sur Silver.
En quelques heures Magnus et Favole furent de retour a la ligue.
Silver se posa dans une bosquet a l'abrit des yeux indiscret derrière la tente de Magnus.
Il emmena Favole sous sa tente pour avoir enfin cette discution...

édité au tour 1939 par Magnus

Siriane, quant à elle n'avait personne qui se souciait de sa disparition, et elle songeait avec malice que les habitants devaient etre bien heureux de ne plus etre dévalisés à tout bout de champ.
Elle suivait la piste dans le sable, les yeux protégé par sa paire de lunettes fétiches. La ou les béquilles n'étaient plus visible, des traces de chariots prenaient le dessus.

Mais elle arraiva à l'arret brutal des traces, et la jeune fille fut bien embetée.

Elle regarda autour d'elle.
Le sable brulant lui rendit son regard.

Non décidément, elle devait s'etre trompée...

Elle hésita un moment sur la conduite à tenir, puis avec un haussement d'épaules, continua sa route. Si elle tombait sur Dame Favole tant mieux, sinon ca lui aurait fait une bonne balade...

Le désert n’est pas toujours aussi désert qu’il semble l’être, Siriane fini par découvrir cette réalité grâce à deux barbares nomade.

Les barbares étaient reconnus pour tuer et poser les questions ensuite… enfin non après tuer il n’y avait rien d’autre, Siriane n’avait pas eu le temps de réagir à cette confrontation que les deux barbares baignaient déjà dans l’étendu de sable souillé par leur sang.

Une drow s’approchât des corps, retournant l’un deux pour mieux voir sont visage.

Elle sortie un parchemin et railla le nom de la liste a lÂ’aide dÂ’un bout de charbon.

Voila un de moins

Elle se retourna vers l’humaine aussi peu vêtu qu’elle, et la contempla d’un petit sourire.
Elle ne portait pas d’arme et vu sa tenue elle ne devait pas en cacher non plus, mais comme le savait déjà Kira cela ne voulait rien dire.

Elle sÂ’approcha de la belle.

"Hé bien qu’avons-nous la"

Kira finit par regarder le blason de lÂ’humaine.

"Une royaume du nord ici dans le désert, j’imagine que tu est venu essayé tes meilleurs tenu maintenant que le froid ne peux plus t’empêché de le faire.

Ah oui j’oublie de me présenté, Kiranaska mais tout le monde m’appelle Kira et je préfère cela, comme sa au moins il ce trompe pas en me nommant. "

Kira se mit à rire.

"Et toi? "

Siriane fit un sourire amusé. Ca la changeait des nobles et autres coincés de son Royaume, et la drow semblait aussi à l'aise qu'elle.

"Je suis Siriane, et on m'appelle Kalie"

Elle se maudit un instant sa spontanéité, et lanca un regard inquiet sur la drow qui lui faisait face, espérant que son interlocutrice n'avait aucune idée de ce qu'était qu'une Kalie.

"Je suis à la recherche d'une femme rousse, avec des béquilles et la jambe dans le platre..."Elle sourit en continuant sa description"Elle n'a pas l'air tres débrouillarde quand on la voit comme ca, et elle s'habille comme une patate, mais les traces m'ont déjà menées loin, et cela m'etonne. L'as tu appercue?"

Elle re poussa sa paire de lunette sur le crane pour mieux voir le visage de la drow, et fronca les sourcils quand elle vit son blason

"C'est amusant, tu es la deuxieme personne que je rencontre qui appartient à cette ligue..." édité au tour 1941 par Siriane

Pendant ce temps-là, à Bastringage, on attendait toujours des nouvelles de la cousine Dyaline.

Renart et Penn-Duick discutait.

"On va faire comme tu dis petite tête!" dit Renart en adressant un clin d'oeil à Penn Duick.
"Au fait, tu as pas de la pommade? J'ai un peu mal au bras."

Arrivant sur cette scène de vie de couple très fréquente où Monsieur P met de la pommade à Monsieur R, Juune rentrait nu comme un ver du désert... ou plutôt nu comme un inventueur de Bastringage puisqu'il ne portait pour tout vêtement que son hamac et sa sacoche.

Voyant Penn-Duick lui accorder crédit, il le remercia mais, son expérience la plus récente (cf " Chassssssssse" dans le forum Légendes) ne lui ayant laissé qu'un goût d'écorce dans la bouche, il déclina l'offre :

"C'est vrai qu'j'aurais été à merveille dans c'rôl'là Penn-Duick, mais j'dois passer mon tour à Renart c'coup-ci!"

S'asseyant sur un rocher tout comme le Korrigan, le drap du hamac voletant très légèrement dans la brise matinale et laisant entrevoir ce que permettait une sacoche utilisée en guise de ceinture, à savoir de beaux cuissaux, l'inventueur se remémorait sa folle nuit pensif.

**...Rêve ou réalité, une seule personne connait la réponse. Et ça c'est ben sûr, des deux de c'te nuit, c'est pas moi qui m'suis réveillé en premier... Belle inconnue...**

Un gros silence planait dehors.

"Un négociateur comme Juune ou un beau parleur comme Renard", avait dit Penn Duick.

Sur cela, Frère-Davinity lança : "Et pourquoi pas un séducteur millénaire comme moi?"

Penn-Duick, Dave, Renart et Dwalin qui venait d'arriver parlèrent un moment de la condition de la femme selon sa race.

Au milieu d'eux, Juune toujours presque nu, sur sa pierre, se grattait la barbe.

"Quand vous aurez fini d'vous tripatouiller, on ira p't-être la chercher non? Si ça s'trouve, elle est morte de soif juste devant la belle porte de Bastringage..."

Se levant - et le vent avec lui dévoilant son anatomie postérieure - l'inventueur, toujours apathique, décida d'aller passer quelques vêtements, de se brosser les dents avec de la colle Gueyth -celle qui vient du froid - et de se débarbouiller avec 'Le Petit Bastringues', son savon du sud du désert.

"A plus, les gars!"

DÂ’autre Bastringage dans le coin ?
C’est pas très étonnant vu que leur ligue ce trouve pas loin, tu doit pas trop savoir ou tu est non?

Enfin sa doit pas te changé tu a troqué ton étendu de glace pour un étendu de sable.

Pour ton amie, bha non je les pas vue, mais si elle est vraiment dans l’état que tu ma décrit, a cette heure elle doit être morte. Le désert n’a pas la main facile pour les blessés.

Kira rangea sont arbalète

Mais bon si tu tien quand même a chercher, elle ne peux être que a 3 endroit, je le sait car c’est les 3 seule endroit vivable dans le coins.

Il y a une petite oasis, la fameuse ligue de Bastringage et finalement un petit village ou on peux engagé des mercenaires, acheté de la contrebande, bref un chouette endroit quand tu arrive a ne pas en sortir les pieds devant.

Jette un regard sur Siriane

Enfin bon c’est rare qu’on ressorte les pieds devant de cet endroit quand on plaît à la bonne personne.

Tu souhaite peut-être que je te face visité c’est 3 endroit ?
édité au tour 1942 par Kiranaska

Siriane se mordit la lèvre. Il fallait qu'elle retrouve Favole, et si celle ci était passée par ici, elle ne pouvait etre qu'à Bastringage...
Et si elle était à Bastringage, elle risquait de tomber sur une vieille connaissance.

Elle ne réfléchit pas bien longtemps. Haussant les épaule avec son sourire habituel, elle décida qu'elle verrai bien une fois sur place et répondit :

" Vu la demoiselle, elle doit sans doute etre à Bastringage. Peux tu m'y conduire?"

Et tandis qu'elle suivait la drow, Siriane prit soin de planquer sa paire de lunette durement acquise.

Juune prenait soin de son corps comme il l'avait laissé entendre à ses co-pirates ( à ne pas confondre avec le droit de propriété anglosaxon^^). Dans son baquet charlingalesque (baquet d'un diamètre de 1m20 dans lequel les bucherons planteurs de piquets font leur ablution), l'inventueur frottait son dos avec 'le Petit Bastringuais' et un système de brosse horizontalement déplacée par des cables que le brun utilisait pour nettoyer les parties les moins accessibles de son corps.

Sa sacoche jamais loin, il chantait à tue-tête : "Teublasie prend sa faucilleuh, la rireeeetteuh, la rireeeeeeetteuh!!..."

Suivant la drow, l'humaine ne mit pas longtemps à atteindre les campement de cette drole de ligue.

Elle appercut fugitivement un panneau annoncant à l'entrée "a bas la maréchaussée" se demanda fugitivement ce que ce terme pouvait bien signifier, et esquissa un petit sourire face au bordel ambiant.
Les tentes étaient pleines de vie, et les quelques constructions en dur semblaient avoir été construites à la va-comme-j'te-pousse. Des rires éclataient de part et d'autres, et il y avait dans l'air un parfum qui lui rappellait étrangement un certain docteur...

Elle commencait à oublier ce qui la poussait en ce lieu. Favole semblait bien morose face à tout ce beau monde. Certains avaient l'air dangereux, mais la plupard semblait bien nourris et elle vit avec plaisir certaines bourses bien garnies à la ceinture de beaux jeunes hommes.
Elle leur rendit leur regard par un sourire aguicheur.
Il y avait vraiment de quoi faire....

C'est au détour d'une tente qu'elle entendit une voix qu'elle reconnu entre mille. Ce timbre éraillé, ce massacre musical ne pouvait n'avoir qu'une seule origine, et elle cacha un sourire quand elle s'appercut que son ancienne victime, cachée derriere un rideau, faisait ses ablutions.

Elle ne mit pas longtemps avant de retourner vers la drow en lui disant

" Je vais chercher un peu, je te remercie. Si jamais tu vois une femme qui pourrait lui correspondre n'hésite pas à me faire parvenir un message"

Puis elle s'approcha fugitivement des affaires de l'homme avec un sourire en coin.
Oh vraiment, la tentation était trop forte, et la blague trop énorme pour qu'elle y resisât, meme si elle savait qu'abuser de la clémence du destin était une mauvaise chose.

Siriane était en train de chiper les fringues de sa victime afin qu'elle se retrouve à nouveau à poil quand elle recu un coup de poignard dans le dos.

Ses lèvres remuèrent silencieusement, prononcant un mot, un nom peut etre, ses yeux se révulserent et son corps auparavant gracile tomba comme un pantin à coté de la douche de Juune.

La paire de lunette s'échappa des cheveux noirs et brillants de la jeune femme pour s'enfoncer de quelques centimètres dans le sable.
La fiole qu'elle portait autour du cou parut soudainement plus terne.

"Eh bien tu l'as échappé bel!!" fit Nosferatus.

D'un bond, Juune se retourna entraînant un peu d'eau hors du baquet, et vit la scène : une jeune inconnue - qu'il n'avait pas reconnu de suite, encore sous l'effet du poison du crotale - se trouvait morte tenant ses vêtements, un pendentif autour du cou.

"Décidemment, on n'est même plus tranquille dans son bain... Encore une qui veut mes vêtements, je vais demander des gardes du corps personnels bientôt!!" riait l'inventueur en direction de Nosfe qui partait déjà emportant le corps au loin.

Puis Juune se sècha, s'habilla, et repensa à se visage et au bijou. Ce pendentif ne lui disait rien, mais son éclat n'était plus...

Un peu plus tard, alors qu'il rangeait sa sacoche, il heurta sa paire de lunettes du pied et se baissa. Tout s'éclairait, la folle nuit d'amour dans le désert, la paire de lunettes volée, la jeune fille au pendentif... Ces deux inconnues n'était qu'une. Il chercha partout Nosferatus, mais déjà on ne le trouvait plus. Son hamac vide, la rhumerie avec ses piliers habituels n'avait pas vu son 'sauveur'.

L'antre aux squelettes ne connaissait que quelques décorations, et sur l'un des piquets il reconnut le pendentifs de la belle inconnue, vivant de mille éclats. Juune s'en empara, le mit autour du cou en pensant que la belle inconnue se trouvait déjà dans le désert, réanimée par les siens...

Pourtant, malgré ce 'soulagement', une musique persistait dans son crâne... édité au tour 1948 par Juune