Laissez faire le docteur

Le désert tanguait dangereusement… et J’vais grand mal a garder mon équilibre, pour moi et ma bouteille tant les mouvements se faisaient intenses… Rentrer dans la taverne fut extrêmement périlleux, les dieux soient loués, il y avait un comptoir pour s’accrocher et mettre en sûreté ma précieuse bouteille.

Etrangement ce phénomène n’avait pas l’air d’inccommoder d’autre personne. Apres une bonne goulée de rhum, je me dit que, d’un point de vu strictement médicale, ça devait être le mal de terre..
Deux bouteilles plus loin, je trouvais même cela très amusant.

La reine Myrwen m’avait accueilli, elle avait un profile très ressemblant à ma Georgette. Suite a nos échanges de missives, ou elle avait pu se rendre compte par ma noble écriture à quel grand savant elle avait affaire, je me prévalait du titre de médecin de famille.

L’endroit était plaisant, un peu chaud, certes, mais le rhum était bon alors pourquoi ce poser plus de questions.


Un tantinet trop de bruit vint déranger mes oreilles raffinées et semer une graine de douleur dans mon cerveau si précieux. Je vis des hommes rentrés en courants, portant un homme visiblement blessé jusqu'à une table de la taverne.
Mon premier client !!!
D’un pas assurer malgré le balancement continu de la taverne.. je m’approchais de la table réclamant la place nécessaire a mon intervention et une bonne scie pour soigner ce brave homme.
édité au tour 1918 par DrLivesey


RE: Laissez faire le docteur


La Reine passait la plupart de son temp a discuter avec ses conseillers sur l avenir du Royaume, les difficultés etaient importantes et chaque jour un nouveau probleme venait s accumuler aux autres, elle ne savait plus ou donner de la tête.

Des bruits se firent entendrent dans le couloir menant a la salle du trone et un garde vient troubler la conversation, il reprit lentement sa respiration et s exprima

“Dame Myrwen, Dr Livesey, et le bléssé.“

L Elfe ne comprit que peu des mots qui s extrayaient difficilement d entre les lèvres de l homme encore essouflé.

"J ai moi même ordonnée qu on emmène le bléssé jusqu au docteur Livesey, un médecin supplémentaire ne serait pas du luxe à la vue du nombre de malades que nous avons chez nous."

Le soldat écouta les paroles de la Reine et son visage livide se transforma en une forme horrifiée lorsqu il ajouta :

“Mais ma Reine, le Seigneur Livesey utilise la scie!“

A ces mots tous les hommes assis à la table se relevèrent et fixerent la Reine. Elle se leva et marcha à grandes foulées vers la taverne après avoir fait convoqué Dame Waters, au cas ou la situation viendrait a dégénérer


RE: Laissez faire le docteur

Favole avait été appelée en urgence par la Reine elle même. La lettre était claire, elle devait se rendre à la taverne soigné un blessé. Il y avait de plus en plus d’attaque de barbare dans la régions, et elle en savait plus ou donner de la tête. De plus le petit Biflindi lui donnait bien du soucis a courir seul près du camps malgré le dangers… Le dernier malheureux en date avait été conduit a la taverne et elle arrivait

« J’ai peur pour le petit Biflindi… il est parti ce promener seul ce matin.. et … »

Les gardes explosèrent de rire malgré l’air courroucé de Favole

« vous voulez qu’on aille sauver les pauvres barbares qui croiseraient sa route ? »
« arrêtez d’être méchant, Biflindi est encore un enfant !!
avec un corps de molosse et un frapper de titan, a lui seul il a massacré plus de barbares qu’une armée réunie… »


Voyant le regard noir de Favole, les gardes se retinrent de continuer… et assurèrent a Favole qu’ils partaient sur le champs a sa recherche.

Favole se demandait comment les autres ne pouvaient pas voir l’enfant se cachant sous ce corps d’adulte. Elle même avait eu un peu peur a leur première rencontre, mais avec son regard de petit garçon, elle avait vite oublier ses crainte pour recueillir cet orphelin, qui faisait certes presque deux fois sa taille.

Prenant sa trousse elle parti de bon pas à la Taverne.


RE: Laissez faire le docteur

J’avais ma fois mes outils a porter de mains, les bûcherons Stark avaient été généreux et leur matériels étaient a peine rouillés. La plus part des rustres incultes avaient fait place autour de la tables et ma demande deux solides gaillard tenait le blessés fermant.

Oui il faut dire que j’ai appris au court de mes nombreuse intervention que les patients avaient une fâcheuse tendance a avoir des sursaut nerveux frappant parfois pendant même le diagnostic. C’est pourquoi depuis je prend toujours la précaution de les faire tenir et de les bâillonner. La précaution est reine dans mon métier. Surtout quand votre patient a tendance a se multiplier par deux.. ou trop, que le sol est très mouvant.. heureusement je pouvait m’accrocher a la scie, un peu fuyante certes… mais pour l’instant presque seule dans ma mains.

« Alors docteur c’est grave ? »

Un de ces ignares incultes me posa la question… A vrai dire il saignait.. du bras… ce fut après une minute ou mon cerveau analysa mon patients que je pu déterminer le mal dont il souffrait :

« il a une multicus dechirusus de cairus sanglantus caractérisée, avec un risque de fracturus osatus sur son bras gauche.. heu pardon droit… »

Un oooh étonné se fit entendre.. mon savoir avait une fois de plus impressionné ses simples ignorants de l’art de la médecine…

Bon tenez le je vais couper sa jambe droite !
docteur … vous n’aviez pas parler de son bras droit ? »


L’imprudent !! comment osait il contester un diagnostic devant un patient ?? Je n’eu pas le temps de le molesté.. l’un et son jumeau, que ma scie s’échappa de mes mains.

Je du me retenir a la table pour ne pas choir sans ma scie pour me cramponner. D’ailleurs devant moi se dressait un autre sosie de ma Georgette, en rousse, l’air en colère et ma scie entre les mains. L’impudente réussi toutefois a me faire rire en se présentant comme « Dame Favole, medecin »… Un médecin femme… quelle hérésie !!!
édité au tour 1918 par DrLivesey


RE: Laissez faire le docteur

William, alerté par le bruit dans la taverne, entendit ce que le docteur dit à propos de la Dame Favole. Furieux, il se planta devant le docteur de toute sa grandeur et lui lança un regard mauvais, ce qui était rare chez lui.

-J'aimerais mieux me faire soigner par une femme que par un ivrogne.

Il se tourna alors vers Dame Favole.
-Gente Dame, si vous ce médecin (il eut l'air dégouté en disant ce dernier mot) vous importune encore, n'hésitez pas à m'en parler.

Il fit un sourire à la Dame et sortie sans même accorder un regard à l'ivrogne.
édité au tour 1918 par William


RE: Laissez faire le docteur

Alors que Myrwen traversait le village en calèche en direction de la taverne, un garde du guet surgit pour faire arrêter le convois. Il voulait s’entretenir personnellement avec la Reine, requête que Myrwen accepta.
Des qu’ils furent loin des oreilles indiscrètes, le garde délivra son message :

“ Ma Reine , une bête étrange se trouve a nos portes et prétend vouloir seulement discuter avec vous , sa taille dépasse presque notre porte et cela commence a rendre les villageois paniques “

L’Elfe donna alors l’ordre de lui apporter de quoi écrire et rédigea une missive a l attention de Dame Favole Stark pour lui demander d’intervenir a la taverne auprès d’un médecin au pratique louche. Décidément, la reine ne savait plus ou donner de la tête et espéra que sa belle fille serait a la hauteur.

Myrwen remonta dans la calèche en direction des portes de la ville cette fois.


Enfin arrive sur place , elle observa une scène assez étrange :, une dizaine de gardes avaient encerclés, a l aide de lances, une sorte de démon au visage monstrueux. La Reine n’avait encore jamais rencontre une telle créature.

Loin de se laissé apeurer par les apparences, Myrwen descendit de la calèche et alla vers l’étranger , celui ci ne prononça aucune paroles et laissa l Elfe s’approcher dans un premier temps, puis il commença à remuer son épée.

Les archers de la porte bandèrent leur arc près a porter secours à leur Reine mais l’inconnu souhaitait simplement poser son arme pour s abaisser devant Dame Myrwen.

Un sourire de respect se dessina sur le visage de la Reine. Elle fit signe au chef des gardes de la laisser passer avant d’inviter le « démon » a entrer dans le royaume d un geste de la main. Myrwen choisi toutefois d’éviter de passer par la place centrale et de traverser plutôt la foret externe au Royaume

Les deux commencèrent à discuter , les premiers mots furent tendus puis le ton descendit et la conversation devint plus amicales. Myrwen apprit que son interlocuteur souhaitait résider au sein du royaume.

“ Je dois être franche avec vous , en ce moment le village est assez… agitée. Les villageois subissent les attaques interrompues de Barbares pillant nos ressources , de plus un étranger est arrivé depuis pratiquant la médecine d une manière très particulière… Si je vous invitais a entrer dans nos murs , je crois pas que jaurais du mal a éviter un mouvement de panique. “

Le Démon écoutait les paroles de la Reine sans l interrompre et dans son regard Myrwen devina qu il comprenait la situation.

“ C est pour cela que dans un premier temps je vous demanderais de résider dans cette foret et je ne vous cache pas que vous serez surveiller , mais en contrepartie vous n’aurez rien a craindre ici. Je vous ferais amener de la nourriture et de l’eau. Une cabane se trouve derrière au loin , vous pouvez vous en servir “

L’elfe se retourna pour montrer une vielle bâtisse de bois , le toit commençait presque a retomber sur le sol et les portes et fenêtres ne tenaient plus que par quelques clous.

“ Je suis encore sincèrement désolée de ne pas pouvoir vous offrir plus pour le moment. J’espère que vous comprendrez mon choix “

Apres ces mots , elle salua le Démon et s en retourna vers la ville en interpellant un soldat sur son chemin et lui montrant la foret derrière elle.