Justice laucienne

Penn Duick gisait sur le sable du désert près du corps inconscient de Mektubus. Edonis et Ilsem conférait au-dessus du pirate.

- Qu'en fait-on de lui, Ilsem?
- Nous le ramenons au Parti. Il sera jugé pour ce qu'il a fait.

Les patrouilleurs se saisirent du pirate et l'attachèrent à un dragon. Peu après, tous repartaient pour la cité du Parti.
une fois arrivés, Ilsem fit envoyer le pirate au palais sénatorial dans l'aile du Quatrième Bureau après lui avoir prodigué les soins nécessaires. On le plaça dans une pièce et on l'attacha à une chaise. Il resta seul dans la pièce. édité au tour 2029 par IlsemNathaniel

Je me reveilli, les main lié et assis sur une chaise avec un garde amorphe à mes côtés.

Qu'il me serais simple de m'évader! mais je ne suis pas là pour ça (pensées)

Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhh triple de bougre de fond de calle!! debout, reveil, action, garrrrrrrrrrrde à vous!!
Appelle moi tes responsable et dit leur que le dernier forban vivant est reveiller et que si ils entendent ce que j'ai à dire qu'il arrive avant que je décide de jeter les amarres.

Le garde se reveilla, se dressi, me laissant evacuer un rire de pitier et moquerie.

Il quitta la salle me regardant noir.

J'en profiter pour délier mes mains qu'un idiot avait lié comme on lit une garcette (petit bout de cordage servant au bande de ris, rarement noué efficacement)

Je fouilla mon caleçon et en sortis ma pipe fétiche, la bourra et m'assis sur la chaise.

Vayne fut appellé rapidement après l'arrestation en plein entretien avec un aspirant passablement incompétent. Le messager l'informa en quelques mots de la situation. Vayne prit le dossier de Penn Duick qu'ils avaient reçu après la bataille de Vera Cruz et se dirigea vers la cellule du pirate.

Arrivé, il tomba sur le garde endormi. Il lui donna un coup de pied pour le réveiller et le réprimanda sèchement. Il entra ensuite dans la pièce et s'approcha du pirate.

- On ne fume pas en salle d'interrogatoire. Vous récupérerez cet objet à la fin de notre conversation.

Il lui arracha sa pipe de la bouche et la posa sur la table. Il s'assit en face du bastringue et posa le dossier sur la table. Il se montra parfaitement neutre et ne se laissa pas influencer par le regard noir de Penn Duick.

- N'essayez pas de sortir d'ici par la force. J'ai des hommes autrement plus compétents que cette feignasse de recrue dans le batiment.

Vayne parcourut la première page du dossier.

- Penn Duick... Bastringue de renom, disparu après la bataille de Vera cruz et présumé mort. Vous semblez pourtant en bonne forme. Suffisament pour agresser un de nos hommes.

Il laissa son dossier et croisa les mains en fixant le pirate.

- Qu'est-ce que vous êtes venu faire ici? Vous agissez en solo ou quelqu'un vous a envoyé en mission?

Vayne l'avait fait mander à la prison, il allait à l'interrogatoire du prisonnier.

Kate alla le rejoindre.


En arrivant à la prison, elle vit le garde qui s'etait rendormi.... dans le couloir devant la cellule

"NON D'UN ....... mais qu'est ce qui se passe ici? tu vas regrette de t'etre endormi mais on verra ca plus tard, sois à ton poste et debout!!!!!" dit elle d'un ton furieux

Elle attrapa le garde, le secoua un bon coup et lui fit regretter de s'etre endormi, il n'allait plus manquer à son poste de si tôt celui là

Kate cria apres un autre garde pour seconder l'incompetent du moment tout en bien lui faisant comprendre de ne pas faire la meme erreur que son compagnon.


Apres cet incident, Kate rentra dans la cellule sans un mot, ne faisant qu'un signe de tête envers Vayne, jeta un coup d'oeil sur le nom du dossier PENN DUICK.

elle avança, parfaitement neutre et se plaça derrière le pirate sans mot dire en croisant les bras édité au tour 2030 par KateAzelas

Un sourire mesquin s'esquivait encore de mon visage.

Après la rentrer de la demoiselle, j'avais reboutonné un peu ma chemise, faudrai pas quel tombe en voyant un vrai mâle.

J'ai connu des hospitalité plus convenable... Et voici donc que maintemant on est violent avec les invités...

Nom d'un loup de mer, halala, les traditions se perdent, il est loin le temps de mes amis favole et Methus et de leur aimabilité exemplaire...

Sachez bougre d'insolant que si c'est avec se respect que vous entretenez vos relations je ne pense que vous serrez un jour appeller au haut rang.

Vous me dites prisonnier, et moi je vous dit esclave de la cupidité. Si je ne voulais pas être là et si je ne voulais pas que vos hommes me capture ne croyez vous pas que j'aurais tuer le compagnon de ma victime.

Allez c'est assez faite des têtes remplis avecautres chose que de l'eau de mer.


(hrp: toute cet violence et arogance à prendre RP biensur ;)

édité au tour 2030 par pennduick

- Esclave de notre cupidité? Vous avez attaqué un de nos hommes qui ne vous avait rien fait. Le compagnon que vous avez "épargné" nous l'a dit! Je sais que vous autres pirates avez une conception très à vous de la vie mais vous saviez pertinement que le Parti est pacifique. Notre Consul avait même tout fait pour vous éviter la guerre qui vous a couté tant d'hommes et à présent vous venez ici frapper des citoyens en espérant qu'on vous traite comme un prince? Ce sont des gens comme vous, esclaves de leurs désirs, qui ont fait d'Adept un endroit dangereux dans le passé. D'autres que nous vous auraient déjà pendu ou le Mont Dréel sait quoi d'autre.

Vayne s'interrompit un instant. Il soupira avant de reprendre

- Vous êtes ici en détention provisoire. Vous serez jugé équitablement sous peu pour agression et tentative de meurtre, car Mektubus a survécu. Si vos raisons de frapper Mektubus étaient si "bonnes", vous n'aurez aucun mal à vous faire libérer.

[hrp]On avait compris;)

Kate avit vu la reaction de Vayne, non mais oh il se croit ou celui la, il a attaque un des notres et il se croit tout permis

Elle a failli exploser de colere mais avait vu le regard de Vayne et se reprit.

Penn duick n'avait rien vu


Kate fit un pas en avant et dit:" la politesse ne vous etouffe pas" d'une voix forte, puis plus rien..

Elle avait croisé les bras derriere le dos et attendait.

Edonis était dans l'entre salle, une pièce discrete dans laquelle il pouvait tout voir et tout entendre.
Il entrait alors dans la salle d'interrogatoire afin de parler un peu...

Penduick...cela me dit quelque chose ce nom...
Oui il me semble que tu étais sous le commandement du plus misérable et du plus incompétant des capitaines, abattu par un enfant.

Au vue des plaies de Mektubus, je vois également que les coups d'étaient pas vraiment de façes...

Il me semblait pourtant qu'un code d'honneur existait chez les pirates...

Maintenant écoute moi bien faible que tu es, oui faible car tu n'arrives même pas à manger et à boire seul.

Tu as encore une chance de t'en sortir sans douleur et sans voyage dans l'au-delas, bien que tu dois connaître au vu de tes capacitées.

Parles, répond à celui qui t'intéroge...et peut être pourras tu même etre libéré.

En attendant un peu d"hygiène peut être...

[i]Edonis fît appeler le barbier de la citée, qui lui rasait les cheveux, et tous les poils, TOUS, même aux pieds.

Le 1 er citoyen quittait alors la pièce...

Favole était toujours dans les écuries, elle devait reconnaître qu’elle était plus habile avec les humains qu’avec les cheveux, car si elle savait leur apporter le soutient médical nécessaire pour accoucher, elle avait beaucoup de mal a se faire entendre des joyeux poulains qui n’avaient guère envie de retourner dans leur box.

Excédée de courir après un récalcitrant, elle croisa le barbier des Lauciens, il allait vers la prison. Effectivement elle avait entendu dire qu’il y avait la bas un prisonnier. Mais quand elle sut son nom elle sursauta.

Messire Penn Duick !!????

Ils n’allaient pas faire raser raser un Korriganed ?? Les fous ! Hésitant entre sortir son arc ou ses gloups, Favole décida de ne pas faire de vagues, et c’est la main sur l’or qu’elle réussi a convaincre le barbier de déserter son poste.

Elle qui avait espéré être loin des complots, des intrigues, et de tout ce qu’elle détestait en quittant le nord, elle se demanda si elle n’était pas maudite, et se dirigea vers les prisons.

EDONIS, je pense que ta reaction est quelque peu exageré! J'ai été dabs un équipage pirate il est vrai. J'ai obéï à un renard qui ma aporté joie et mérite. En revanche ce mécréant n'est qu'un bougre de gabier et est loin d'avoir les épaules d'un cap de veau.

Je me leva tranquilement et m'avançea de vers la porte et Edonis sortant

Sir premier citoyen je vous demande une chose je veux vous rencontrer vous, l'elfe et favole à huit clot. Je ne veux pas de ces mousse pour compagnie. Deplus il n'ont pas de respect ainsi je néciterai pas à les abimer si il deviennent violent.

Comme vous le disiez je fus pirate, mais je suis avant tout forban. Je n'ai pas d'ordre à recevoir, la seul règle que je respecte est le respect. au abysse le reste. respecter moi et j'en ferai de même.

Voici pour vous prouver ma bonne foi.

Je sorti de ma manche une lame courber aussi tranchante que reluisante. son manche en bois de rose orné de pierre refléter sa valeur. Je la sorti tranquilement et la tendis à Edonis en la tenant par la lame.

voici un coutela korrigan, la dernière chose matériel me raccrochant à eu, ceci n'est pas un dont, mais j'ai pu la dissimuler à vos fouilles. Comprenez donc à quelle point il met précieux.

Sur ce geste de bonne foi j'attend de vous de me conduire auprès de favole et de l'elfe.

Vayne jeta un regard noir à Edonis. Il détestait au plus haut point la manie qu'avaient lui et certains autres à faire fi du concept de zone interdite au personnel non-autorisé bien que cela ait payé cette fois-ci. Il ne lui fit malgré tout pas la remarque et fut heureux de voir que le barbier était un coup de bluff. Il se retourna vers Penn Duick.

- Le mousse dont vous parlez est le Haut-Juge en charge du Quatrème Bureau. Vous êtes sous ma juridiction alors je vous conseillerai d'éviter de me manquer de respect. Cessez de réclamer des entroses à nos lois, car nous avons des lois ici. Vous n'êtes pas en position de faire des réclamations. Vous êtes un criminel en attente de jugement. Il n'y aura pas de séance à huis-clos si vous refusez la présence d'un membre du Quatrième Bureau. Vous pourrez appeller Favole comme témoin lors de votre procès si vous le voulez. Kate? Amenez-le à sa cellule et veillez à ce qu'il soit traité dignement.

Il s'approcha de Penn Duick.

- Faites attention à ne pas faire de vagues. Prouvez-moi que je peux vous faire confiance.

Vayne quitta la pièce et sortit de la prison. Il vit favole approcha. Il la salua avec déférence. Elle ne le remarqua pas vraiment et tenta d'entrer dans la prison. Vayne l'en empêcha.

- Excusez-moi dame Favole. Où pensez-vous aller? Cet endroit est réservé aux membres du Quatrième Bureau et aux personnes autorisées. Si vous voulez voir un prisonnier, vous avez besoin de mon autorisation. J'ai déjà eu mon lot de problèmes aujourd'hui.

Vayne attendit la réponse de Favole qui semblait troublée.

Kate s'approcha de Penn Duick.


"Si vous voulez bien me suivre"..
Kate raccompagna le prisonnier dans sa cellule. et decida qu'elle devait lui parler.

"Ce que Vayne vous a dit est la verite, vous êtes ici en tant que prisonnier... je suppose que quand vous parlez de l'elf, vous voulez parler de notre consul.
pour le rendez vous, j'en toucherai deux mots au consul mais je ne vous promets rien.

Bon je vais vous laisser et ne faites pas de betise."

Elle sortit de la cellule, fermit la porte à clef, mis ses deux meilleurs sergents en faction.

Elle envoya une missive à Ilsem pour lui demander de venir à la prison.

Kate alla dans le bureau du Haut juge et attendit .

la soirée allait être longue, Qu'est ce qu'Edonis faisait il la?, j'en connais un qui ne va pas être content

Kate fit mander un sergent pour qu'il interdise toutes personnes d'entrer sans l'autorisation du Quatrieme Bureau. édité au tour 2031 par KateAzelas

Favole estima la situation, visiblement, les incompréhensions étaient des deux coté, et cela pouvait très mal finir…
Hors de question de ce voir sortir aussi vite de ce sac de nœuds.

« Excusez moi tous de vous interrompre et de m’imposer, mais je pense avoir ma place ici, même si je l’avoue, j’ai encore du mal a comprendre toutes vos traditions.
Il se trouve que Messire Penn Duick est un Korriganed, une race très ancienne non versée dans vos coutumes. Vos requêtes doivent lui paraître aussi inacceptables que les siennes pour vous.

Etant proche de cette famille je pense que j’ai ma place en tant… hum… qu’interprète. Et cela est d’autant plus vrai que c’est moi qui lui est demandé de venir pour une procédure d’adoption sur son filleule Jim Hawkins. Je suis donc presque aussi responsable que lui… laissez moi une chance d’arranger ce quiproquo »

J'avais passé la nuit dans ma cellule avec pour seul compagnie, la lueur de la lune dans une petite lucarne et les ronflements d'un garde à ma porte.

Je pensis à ce que je venait de faire...

Le régent qui ne m'avais pas donner de nouvelle depuis notre rendez-vous secret dans l'auberge... et si il avait pris mon vent. Si il ne pensais pas à tenir sa promesse...

Et puis pas de nouvelle de ma proie, le renart ne se manifestait pas...

JE m'approchi de la lucarne et me mis à siffloter des complainte de chez nous... Plus la nuit avançait plus mon esprit korrigan prenait le pas sur ma sagesse. Il me gardait enfermé mais savait t'il vraiment ce qu'ils faisaient.

Ils ne doivent pas connaitre les korrigans j'espère que favolle leur laissera savoir nos coutume face aux humains, car le cercle au milieu de la prairie ne sera pas blanc mais bien rouge comme l'eau ayant coulé dans bastringage.

Comme tout forban j'enmmenerai le maximimum d'ennemi par dessus le bord. Je ne serai pas le seul à danser la gigue au quaie des pendus. Ceci biensur si il ne change pas de comportement.

Je ne suis pas venu là, pour mourir à nouveau, mais bien pour parler.

Une idée me vint rapidement!

J'appelli ma petite mesange, par son chant naturel, comme tous korrigan, L'hermine et la mesange était devenu mais amis, come toute la nature.

Ainsi mes compagnons me rejoingnirent peu après. J'aurais pu leur demander de piquer les clés au garde, mais je n'y ai pas intêret.

Alors pour passer le temps on s'amuser à titiller le garde, et autre jeu pouvant enerver le voisinage.

j'avais trouvé leurs nom par ce même temps Gwenn l'hermine et Du la mesange blanche et noire comme leurs couleurs de tête.

j'étais depuis plus de deux jour ici, sans nouvelle de mes hôtes. j'avais bien une idées pour rappeller ma présence mais ces hyppocampes innofancifs allait encore me conduire au gibet, et cette fois ce servir de mon corps comme etendart.

Mon sang rougiera peut-être cette galère mais il me fallait leur donner signe de vie.

Kate n'étais pas loin je pouvait l'entrevoir de la porte.

Gwenn mon hermine, tu va me prouver ta valeur de soldat. Vas me mordre la poupe de cette Kate.
Par contre revient vite car je pense pas qu'elle va apprécier. Je prendrais la claque pour toi, c'est le rôle du loufiat.

Allez va

Gwenn se foufila entre les bareaux de ma cellule, longea les murs, s'arreta une seconde piquer le pillon de poulet dans l'assiette du garde et s'élenci pour mordre cette lune.

Aïeeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuuu

Mon second revint rapidement comme je lui avais ordonné et vint se glisser dans ma chemise laissant juste sa tête dépassé de mon col en V.

Gwenn comme moi rigolèrent à plus respirer et Dû sifflait comme jamais, surement son rire.


En revanche ce ne dura pas long, la charmante demoiselle se pressentit en furi devant moi et la dernière image que je me rapelle avoir vu est, la main armé de KAte arrivant droit sur mon visage...

édité au tour 2033 par pennduick

Vayne n'appréciait pas la façon dont Favole abordait cette affaire. Un quiproquo ne provoque en général pas d'agression.

- Ma chère, même si cette affaire est liée à un quiproquo, Penn Duick s'est rendu coupable d'un crime. Il sera jugé pour cela bein que vous puissiez témoigner en sa faveur. Je tenterai par contre d'organiser une entrevue surveillée. C'est la procédure. Je vous ferai parvenir un message lorsque l'entrevue pourra être arrangée.


[hrp]Je ne pourrais répondre que rarement dans les prochains jours pour cause d'examens. Les retards ne seront donc pas dus à une négligence. Merci de votre compréhension