Duel Templier: souvenir

Korin rentra dans la taverne qu'il vit en grande partie peuplée des ennemis irréductibles de son père et de ses aïeuls avant lui. Il supporta quelque temps leur rire gras d'ivrogne avant de se lever, la machoire serrée. Il s'avanca près du comptoir sur lequel il se planta, les jambes écartées, une chopine à la main.

"Je suis le fils de Thorak Main-de-Fer, le Fléau des Templiers. Je vois que ce nom éveille des souvenirs dans vos esprits embrumés par l'alcool. Laissez moi vous conter une petite histoire que l'on m'a souvent annoncé comme des plus instructives."

Les yeux dans le vide, il se mit à réciter des mots qu'il s'était repassés durant des années, des années à attendre.

"Entendant d’immondes racontars sur le combat qu’il mena quelques mois plus tôt, Thorak se leva et grimpa sur le comptoir de l’auberge, où il put dominer la salle et s’adresser à tous. Frappant le bois noir du manche de sa hache il attira l’attention de tous, et même les hobbits cessèrent de manger et de boire pour écouter le récit du vieux nain :

Cette histoire n’est qu’une calomnie et je n’ai jamais entendu pire mensonge que celui-là !
Aussi vais-je vous compter la véritable histoire et la traîtrise des Templiers.

Après la longue guerre qui opposa les chiens d’Hécate aux vaillants guerriers de Laduguer et leurs alliés, je partis dans le désert et quelques escarmouches m’opposèrent à des soldats d’Eklin, vite abattus au demeurant. C’est alors qu’une de ces guerrières, qui semblait plus honnête que les autres, me jeta un défi. Riant de sa folie j’acceptai. Un de mes apprentis partit alors pour Nainporte, pour que mes amis n’interviennent pas, l’honneur du défi m’étonnant chez une Templière.

Le duel à mort commença alors en plein cœur du désert, le robuste nain en armure lourde face à la silhouette gracile de Gally. Les coups plurent et bientôt Gally se retira, arguant que les règles du duel n’avaient pas été respectées et que le combat reprendrait plus tard, une fois qu’elle serait soignée. J’attendis donc, pansant une vilaine plaie au bras, afin qu’elle ne s’infecte pas.

Je m’endormis alors, adossé à un palmier, ne posant que mon lourd heaume au sol. Carnassière reposait sur mes jambes, prête à mordre les chairs du voleur assez fou pour s’attaquer à un nain. Mais ce ne fut pas un voleur qui se jeta sur moi pendant la nuit.

Gally profita de l’obscurité pour attaquer en traître, et sa lame transperça ma cuirasse avant que je ne puisse me lever. Les réflexes encore lents, je ne pus esquiver les autres coups mais l’acier nain fit des miracles et je retrouvai le sourire tandis que Carnassière gémissait de plaisir anticipé dans ma main. Mais là toute la fourberie des Templiers se révéla.

Une intuition me fit me jeter au sol tandis qu’une flèche d’où dégoûtait un sombre liquide se ficha à quelques centimètres de là où je me trouvais. J’entendis le bruit de lames dégainées et je vis l’éclair du métal briller tout autour de moi. Avant que je ne puisse me redresser une forme fut sur moi et Celas me frappa, à de nombreuses reprises, et me blessa.

Ensanglanté, haletant, je pus repousser mon assaillant et qu’elle ne fut pas ma surprise de voir Baamontes se précipiter sur moi, un rictus aux lèvres ! L’insultant dans le parler de mon peuple je parais ces ridicules tentatives pour me toucher, cette charogne préférant en général laisser le travail à plus courageux que lui.

Et tandis que je riais des efforts dérisoires du soit disant loup d’Hécate je sentis une dague transpercer mes chairs et mon souffle devint rauque tandis que le sang emplissait mes poumons. La lame acérée frappa encore et encore et bientôt je tombais à genoux, le visage de mon meurtrier apparut quelques secondes devant moi avant que je ne sombre dans l’inconscience, Thufir.

Voilà comment se déroulent les duels Templiers compagnons ! Alors si un jour un de ces beaux parleurs vous défie, amenez avec vous vos amis et soyez les premiers à frapper !

Le nain descendit d’un bond du comptoir et quitta la salle enfumée, laissant les buveurs à leurs discussions et à leurs rires païens. Une autre tâche l’attendait."

Korin se tourna vers les tables hécatéennes et les défia du regard, attendant.
édité au tour 1469 par Korin

Noctis entra dans la taverne au momet où un nain montait sur le comptoir l'air fier "Je suis le fils de Thorak Main-de-Fer, le Fléau des Templiers"

Noctis plissa des yeux et s'installa discrétement dans un coin sombre de la taverne (il n'eut pas besoin de rabattre sa capuche, car il n'en avait pas à vrai dire). Il commanda une bière épicée et écouta attentivement le récit du jeune nain. Noctis se frottait le menton. ce qu'il dit est cohérent, mais ce pourrait il être vrai ? .... humm .....

Le nain une fois son récit terminé descendit et toisa du regard un groupe d'hécatéins à l'air ahurit devant des gobelets remplis de pissa d'âne.

Noctis esquissa un sourire et se leva de sa chaise "Rien ne sert d'attendre jeune nain, il faut aussi avoir prendre des initiatives". Il prit une table par son pied et la jetta sur le groupe d'hécatéins. Puis rapidement se saisit du tabouret qui était en forfait avec la table pour l'abattre à plusieurs reprise sur le crâne d'un Drow. "Toujours savoir utiliser l'environnement dans un combat, c'est primordial !"

"Voilà qui est parlé! Pour Thorak et Laduguer!"

Sur ces mots qui résonnèrent il y a bien des années de cela dans le désert il se jeta dans la bagarre, armé en tout et pour tout de deux choppes de bière en acier renforcé, des cadeaux de son grand-père maternel.

Il assoma rapidement certains de ces adversaires qui l'air complètement abruti (cela ne change pas d'antan lui murmurait une petite voix) se défendaient à peine.

"Que font ces idiots, compagnon de beuverie? On dirait qu'ils ne se sont jamais battus! En plus d'être des couards ce sont des manchots!"

Noctis prenait chaises et tabourets à porté de main et les jetait au hasard sur la foule. Trois hobbits étaient accrochés dans son dos et essayaient de l'éttoufer en lui enfournant des crèpes de la mère Yvonne, mais celui ci arrivait à les manger plus vite que leurs mains pouvaient en porter. Le tavernier dans son comptoir criait "Pas dans ma taverne ! Pas dans ma taverne ! Pas dans ma" jusqu'à ce qu'un tabouret vint lui dire bonjour de plus près.

Noctis se rua dans les espaces sombres de la taverne en chargeant tel une bête "SUS AUX ENCAPUCHONES !!! RENDONS LA CAPUCHE AUX INSTANTS PRIVILEGIES !!" Il en tira à droite, à gauche, puis encore à droite et au milieu, arrachant quelques touffes de cheveux aux passages, les hobbits toujours accrochés dans son dos.

"Parbleu ! Que font ces hobbits sur ma cape !" Noctis tapa son dos plusieurs fois contre les murs de la taverne jusqu'à ce que les hobbits tombent au sol. Pendant ce temps plusieurs encapuchonés avaient formé un cercle autour de Noctis

"A VOS TABOURETS NAINPORTAINS, LA CROISADE CONTRE LES PORTEURS DE CAPUCHES EST OUVERTE"

[Andurinel completement saoul se leva et tendit une choppe de biere]

ouaiiis! Noctis pretibent....previrent...prechiquent....pelican...chef! ouais! noct..hips..chef!!!

[Il vit quelqu'un de dos avec un manteau a capuche sur la tete]

ouaich! a bras...ba..les crapuches!

[il lança sa choppe de biere dans la tete de la silhouette qui assomée tomba a terre. Il prit son tabouret, le frappa au sol pour le casser et prisun pied du tabouret. Il sauta sur sa table en faisant en faisant tournoyer son arme de fortune]

les hecateens a voile!!!a poele!!!a poil!!!

Au moment ou Noctis criait le mot NAINPORTUNs ,Anubis apparut sous le porche de la taverne.

-Humm...on m'a appeller ?!!!

Quel spectacle , lorsque devant ces yeux deux freres secouaient les fesses des sacs a patates sur pattes qui sentaient le crotins de cheval.

Anubis regardait le jeune lqui ui rappellait vaguement quelqu'un....
Puis il entrait

-Bonsoir tous le monde ,
C'est une soiree privée ?
Non bon tres bien.

Anubis ecartait violement les bras faisant tomber sa cape ( oui je l'a iprise sur mec a l'entree je l'a trouvait bien) et laissant decouvrir des tabourets dans ces mains.

- J'ai amene des recharges les amis !!!!!!!!!

Une pluie de tabouret s'abattait dans la taverne au desespoir du tavernier qui c'etait assis a cote des spectateurs avec des casques buvettes qui comptaient les points.