RE: Corbeau, lettre, et incendie aux royaumes
A peine mes délicates narines avaient humé le parfum acre de la fumée que je méveillais les sens en alerte. Ciel !! Je métais endormi comme un pourceau sous un arbre.. mais ou était ma bourse et le dîner avec mère, laurais je omis ?
Peu importe, mes sens de héros prirent le dessus et éludèrent toutes questions annexes. Jaccouru avec la souplesse dun ours et la vitesse dun porc-épic ( ceux qui rigolent nont jamais vu un porc-épic fondre sur eux, croyez moi, ces petites bêtes sont rapides et perfides, armure ou pas, leur picots se logent toujours aux pires endroits) enfin bref, en moins de temps quil en faut pour réciter la chartre du chevalier ( je mets toujours un certain temps pour me souvenir du 3e commandement et du 7e aussi
) et dans ce petit gling gling si théâtrale que jaffectionne tant, je me retrouvais devant un spectacle apocalyptique : une tente en feu.
Courant dans tous sens pour donner du courage aux porteurs deau, jentendis des voix qui brisèrent mes rêves dintimités conjugales pour la soirée.
« Oh Par les Dieux, Cest la Tente de Dame Favole !!
Quelquun sait où elle est ?!!
Oui regardez elle est a lintérieur !!
Elle va mourir brûler vive !! La fumé a dut lendormir !! cest tellement affreux !!! »
Peste, pas ma femme, je navais pas fait autant de distance pour ne pas avoir ma récompense charnelle, pas ce soir !!! sans parler que je métais embêté a trouver la plus belle femme du monde, cétait pas pour me retrouver avec la seconde plus jolie fille.
Nécoutant que mes hormones je bondis dans la tente arrachant ma tendre et chaude épouse aux flammes. Hélas, il était trop tard, elle était toute abîmée, intouchable, et sil ny avait pas eux dans les reste des cendre des ses doigts calcinés notre alliance (avec gravé en gros « propriété de RON STARK »), je ne suis même pas sure que je laurais reconnu
Quoique de toute façon, je me souvenais plus de la tête quelle avait. Mais là toute cramoisie, ca ne me donnait pas envie de la garder plus longtemps dans mes bras. Balançant le reste de cadavre tout cracra, je me rendis compte de lhorreur de la situation
Jétais veuf
Je tombais a genou, laissant mes larme perler le long de mes joues en lançant un "POOUUUUUUUUURRQQQUUOIIII ???!!!!!" désespéré. Javais résisté a toutes les tentations, mon honneur de chevalier mobligeant à ne faire du mélange broussaille quavec ma femme.
Deux ans de marche de supplices, et là.. il fallait que cette crétine arrive a mourir avant même notre première nuit !!
Abattu je ne perçu que faiblement les marques de sympathie des gens du royaume. Ils me disaient tous que javais eu une brave femme, très gentille et tout et tout
mais franchement
je la voulais juste belle et vigoureuse ce soir.
édité au tour 1939 par Ron