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12 Adepts Célébres

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Arikel

Arikel

Arikel, puissant Monarque, avait à ses pieds tout les cadeaux de la vie.

Son royaume s'étendait à perte de vue. Ses nombreuses et invincibles armées l'aggrandissant de jour en jour, de batailles en batailles, nul ne semblait arreter l'expansion de sa puissante nation.
Son pouvoir, sa gloire et sa richesse étaient sans limites.
Il lui suffisait d'un seul mot pour que des milliers d'hommes s'empalent sur leurs lames en chantant ses louanges, d'un seul mot pour qu'il pleuve sur la ville un torrent de pièces d'or et de pourpre, et que le bon peuple ne l'acclame pour sa bonté et sa splendeur.
Son gigantesque palais dominait le pays, si imposant que l'on sussurait qu'en haut de la plus haute tour du chateau, il était possible d'entendre les dieux murmurer, en tendant l'oreille...
Il avait tout, et bien plus encore, il n'existait rien dont il ne puisse se vanter de posséder.
Richesse, gloire, succès, femmes...rien.

Arikel était un roi comblé, mais un homme rempli de terreur.

Car ni ses armées, ni tous les trésors du royaume, ni le soutien du peuple ne pouvait le protéger de la seule chose qu'il ne pouvait acheter : La Mort.

Mais le roi ne pouvait l'accepter.
Comment lui, un dieu vivant, pouvait-il connaître un jour le baiser glacé de Chemosh, comme un vulgaire manant, impossible!
Un claquement de doigts de son Altesse, et des centaines de mages et de scribes se mirent au travail, durant des années entières d'efforts acharnés, repoussant sans cesse les limites de la vie, encore et encore.
Les sous-sols du chateau fourmillèrent de la masse de ces chercheurs et résonnèrent de leurs expériences fébriles, des paroles incantatoires chuchotées à voix basses et du bruit d'inventions compliquées.
Et quand tous eurent sués sang et eau pour leur Monarque, une solution fut trouvée, après bien des années de travail.

L'archimage du royaume l'apporta aussitôt à son vénéré maître, dans un souffle de capes virvoletantes, nul ne devait faire attendre son souverain.
Elle se tenait là, la solution de toute une vie, celle qui repousserait la mort dans les brumes de l'oubli.
Une fiole...complètement vide.
Arikel parut sceptique mais finit par croire le mage, et enchassa celle-ci dans un pendentif, car il était dit qu'il ne devrait la boire qu'une fois aux portes de la mort. Ainsi il avait en permanence sous la main l'objet de tous ses désirs.

Le roi se laissa alors dépérir, lentement, doucement, dans ses appartements au luxe divin, dans son grand lit d'ébène aux draps d'or et de pourpres. Il y attendit patiemment la Mort, et le début d'une nouvelle vie.
Et pendant ce temps, son royaume continua à prospérer.
Plusieurs semaines passèrent, le roi était désormais à l'agonie. Son souffle rauque et ses yeux vagues ne montraient plus qu'une chose, un homme en train de mourir, desséché par l'attente, à la barbe blanchie. Il ne restait plus beaucoup de temps.

Et quand l'étreinte de Chemosh se ressera sur lui, Arikel ne put soulever la fiole de sa main maigre et tremblante.
L' archimage l'y aida, le Roi avala le contenu de la minuscule bouteille qui semblait pourtant ne rien contenir.

Et le miracle se produisit. Il devint immortel.

La fête qui suivit dura un mois entier, une orgie de luxe et débauche où se mélaient cris de troubadours et vins capiteux.
Un mois durant lequel la tempête fit rage. Mais l'orgeuilleux Arikel ne voulut pas y prêter attention.
Il aurait dû...

Le roi décida de tenir un discours vaniteux afin que son peuple l'aclamme, mais il n'eut jamais lieu.
Car les dieux en colère de voir leur immortalité usurpée décidèrent de le châtier. Et Arikel paya le prix de son orgueil et de sa vanité.

Pelor fut le premier à porter sa sentence. Plus jamais Arikel ne pourrait supporter sa vision.

Chemosh voyant là un affront à sa substance-même fit cesser de battre son coeur pour l’éternité.

Jhaampe trouvant que sa présence-même et celle que pouvait causer sa descendance serait un trop grand déséquilibre, l’empêcha de se reproduire.

Laduguer maudit Arikel qui dut alors boire le sang des gens de son royaume.

Mystara fit en sorte que le feu deviendrait mortel pour lui, et que jamais les flammes n'abandonneraient son corps s'il venait à les toucher.

Mais Hécate n’empêcha pas Arikel de vivre sous sa face et Loki lui permit de se reproduire par un cadeau a double tranchant, en vidant une personne de son sang et en lui donnant du sien.

Taps, Chronos et les autres, pour changer, ne firent rien se contentant d’accepter la sentence.

Arikel devenu un monstre, son royaume s'effondra, en proie à la guerre civile, aux pillages et au carnage.
Il partit alors seul, maudit et immortel, et disparut pendant de nombreuses années afin de mettre un projet en oeuvre. Un projet pour se venger des dieux.

Arikel étreint alors dans l’ombre 13 anciens généraux de son royaume.
Il leur donna l’ordre de faire perdurer son nom à travers les âges comme celui des autres dieux. Les treize donc s’attelèrent à la tache de reconstruire le royaume. A la différence de l’ancien, Arikel ne fut jamais présent mais considéré un Dieu.
Lui ne revint jamais mais il a été dit qu’il dirigeait les 13 sans avoir à être présent à leur coté.
Ils étaient considérés comme la preuve vivante de son existence et du sang leur était donné en sacrifice pour lui au cours de cérémonies grandioses. Et quand les 13 vinrent à se reproduire au fur et a mesure que le royaume progressait, cela fut accepté aisément comme la descendance divine d’Arikel. Tous mortels comme immortels vivaient en parfaite harmonie.

Arikel tenait sa vengeance sur les dieux.
Sa descendance maudite fut appelée Vampire, et l'est encore aujourd hui.

Mais le royaume des treize ne dura pas. Courroucés, les dieux le détruisirent et bannirent Arikel dans un lieu inconnu de tous.
Sa présence, son existence même fut éffacée, et son histoire tomba dans l oubli.
Jusqu'à la nuit où, dans le désert, un vampire nommé Mithras mit la main sur un livre...

Une ligue fut formée par les seigneurs de la nuit pour retrouver le Vampire Originel, la Cetate, et elle porta son corroux sur les croyants qui véneraient un des dieux ayant participé à la malédiction.

Les colons d'adept, qui vénéraient Pélor, furent détruits définitivement durant une guere implacable. Bien d'autres conflits, d'autres recherches furent tentées, mais la plupart restèrent sans succès.
La cetate se fondit dans Tenebrae, et les Vampires continuerent leurs recherches, mettant au point grâce à d'obscurs rituels 5 artefacts des plus puissants.

Les Parchemins Noirs. Chacun d'entre eux contenaient une formule sacrée, et quand toutes seraient lues lors d une céremonie adéquate, Arikel se lèverait à nouveau pour marcher parmis les mortels, avant de gagner sa place parmis les dieux.

Mais la Cetate fut détruite et les parchemins cachés aux quatres vents.
Aujourd'hui pourtant, de nombreux vampires ont repris la croisade pour leur Père, et déjà, certains parchemins ont été recupérés.

La suite, l'avenir nous le dira...🕬

Les Mizairiens Célèbres : Broaz

Saint-Broaz du Noyer de la Révélation

Broaz fut le premier à prier Mizaire et le fondateur des Beaux-Hémiens. Il fut ainsi Prince de Bel-Hème pendant la plus grande partie de sa vie, et ne quitta jamais cette ligue. Alors que le monde était dominé d'un côté par les Princes de la Nuit et par Cayenne de l'autre, il tenta de maintenir sa ligue hors du jeu des grandes puissances du monde. Mais l'époque était différente, et sous la contrainte d'Eddie, il fut forcé de prêter allégence aux Princes et les Beaux-Hémiens restèrent sous la coupe des Princes de longues années durant. Lorsqu'Eddie fut enfin terrassé par Adam et que Glaïr prit sa place, toutes les relations des Princes avec les autres ligues furent rompues, ainsi les Beaux-Hémiens recouvrèrent leur indépendance.

A plusieurs reprises il prit partie pour des causes perdues d'avance, risquant de déclencher le couroux des puissants du monde dont la puissance était telle qu'ils eussent pu anéantir les Beaux-Hémiens en un rien de temps. Mais selon sa propre expression, le rire de la hyène est souvent plus redoutable que ses crocs. Si nombre de ses ennemis parvinrent à le vaincre sur le terrain du combat, aucun ne le vainquit jamais en joutes verbales, domaine dont il était friand et dans lequel il excellait. C'est d'ailleurs ainsi qu'il inaugura la tradition de poésie mordante des Mizairiens.

Le temps passa fort gaiement pour les Mizairiens et pour Broaz, les guerres et escarmouches que ceux-ci adoraient bien qu'ils n'en sortissent que rarement vainqueurs, sur le plan matériel, se succédaient et jamais la poèsie et la littérature mizairiennes ne furent aussi riches, c'est ainsi qu'avec l'aide de Dame Assag, il composa Le Rond de Cuir, pièce de théâtre qui tournait en dérision ceux qui étaient appelés "les Anciens" et autour desquels planait un mythe d'invincibilité. Tous réunis dans un même groupe, ils faisaient à leur manière régner leur loi, et lorsqu'en cas de conflits ils prenaient parti pour quelque ligue que ce fût, la ligue adverse était sûre de perdre la guerre.

Un jour, confirmant une prophétie Mizairienne, Adam et Eddie revinrent de l'au-delà, sur Adept, Eddie revendiqua alors immédiatement sa suzerainneté sur les Beaux-Hémiens, dans le même temps, Assag, vainquant Broaz en arène, devient à sa place Princesse de Bel-Hème, et confirma à Eddie l'indépendance des Beaux-Hémiens et déclara qu'ils ne seraient jamais à nouveau à la botte de qui que ce soit. Eddie en garda longtemps un souvenir amer ait eu toujours une certaine méfiance à l'égard des mizairiens.

Lorsque les Anciens décidèrent de mettre en vente toutes leurs possessions, Broaz mit en branle tout l'artisanat bel-hémien, il ne savait que trop que si ces biens tombaient entre les mains des Templiers, le monde entreraient à nouveau dans une ère de domination hécatienne, il entreprit donc de tout mettre en oeuvre afin de racheter leurs possessions ; et il en fut ainsi. Pour la première fois et unique fois de leur histoire, les Beaux-Hémiens travaillèrent à des fins commerciales, le Cercle des Anciens fut racheté puis démantelé, et leur souvenir s'étiola trés vite dans les remous de la mémoire universelle.

Les années passèrent se ressemblant toutes plus ou moins, les Templiers et leurs armées de golems sans âme entretinrent la prose et la poèsie mizairienne, puis le monde s'enfonça lentement dans une ère de marasme poétique et aussi "humain" à certains points de vue.

Broaz commença à décliner lentement, il partit s'isoler dans le désert, ne se souciant plus ni du monde ni de la poésie, s'enfermant chaque jour d'avantage dans son mutisme, il s'éteignit finalement à un âge trés avancé, achevé sur son lit de mort par Glaïr qui avait gardé contre lui une rancoeur éternelle.

Ainsi disparut Broaz, aujourd'hui encore, sa statue se dresse sur son tombeau, au coeur de la Cour des Miracles, symbole éternel de la gloire non ternie d'un être exceptionnel et désintéressé comme le désert n'en connut que trop peu.🕬

Les annales de la compagnie noire

Note hrp : ces texte sont précieusement gardé au sein de la compagnie noire , et parfois lu dans celle ci...Le contenu n'est donc pas diffusé dans tous le désert , et meme de très bons espions ne peuvent y acceder...

An 123 le 23° jour du mois des Corbeaux
Les annales de la compagnie noire : ici commence la rédaction des annales par l’homme connu sous le nom de « le prêcheur »

Si j’ai accepté de tenir ses annales , c’est pour continuer la tradition commencer par nos ancêtre , la dernière franche compagnie de khatovar , connue sous le nom de compagnie noire.

Je me nomme «Mike » ou « le prêcheur » , je suis un prêtre , et je vénère chemosh et yogi , cependant rassure toi lecteur , les annales de la compagnie noire resteront dépourvue de toutes notions religieuses , comme le veulent les mœurs de la compagnie.

…

Je viens d’enchanter quelques paires de bottes de ressurection pour le compte d’Elmo , et j’admire actuellement l’édification de la forteresse de la compagnie noire.


C’est la première fois , que la compagnie construit une telle forteresse , cependant comme me l’a expliqué Toubib l’autre jour , le désert a prouver qu’on a besoin d’une solide défense , vu les triste expérience qu’a fait la compagnie. La compagnie noire a une faculté admirable ; l’adaptation.

Cependant jusqu à présent la compagnie , s est toujours reformé , et elle ne craint pas les épreuves , car chacune des épreuve traversé rend les survivants plus forts.

Revenons a notre forteresse , j’ai pu admirer d’astucieux labyrinthe entre les nombreuses rangées de murailles , des souterrains que je n’ai pas encore eu le temps d’explorer , et certaines rumeurs disent que nos prisons sont un véritable calvaire pour qui tenterait une évasion.

Je décide de m’occuper a envoûter , pendant que nos architectes astucieux prépare une forteresse imprenable. Aux alentours , toutes la compagnie noire reformée s’affaire a redonner vie a notre compagnie.

An 123 le 20° jour du mois de l Oasis

Tout le monde s’affaire a continuer le chantier en cours , et moi j’ai encore envoûter quelques objets , au cas ou il pourrait servir. J’ai discuté un peu avec les hommes , le moral semble bon , et ambitieux. Toubib est parti a la recherche de médicament pour quelques jours , et revenu avec quelques paquets pleins d’herbes. C’est important dans la compagnie les plante médicinale , pour soigner les hommes , Toubib peut faire des miracles.
Cependant beaucoup des vétérans sont robuste et encaissent bien les coups , ce qui réduit quand même un peu son travail.

Sinon pas grand chose de neuf pour le moment.

An 123 le 10° jour du mois des Fennecs

Toujours pas grand chose de neuf , j’ai été voir Elnor à l’étable qui fut un peu surpris de me trouver dans les rangs de la compagnie , mais pas trop , la compagnie attire beaucoup de gens d’origine très diverses.

Sinon pas grand chose de notable , ah si Mataell , une des rares femmes mercenaires c’est cassé un ongle en le curant , et ça a fait tout un drame , car il faudra au moins deux mois pour qu’il repousse. Enfin , comme tout compagnon noir l’aurait fait , elle a surmonté la difficile épreuve , non sans grands efforts. Il faut dire que Coran , si elle avait continué , lui aurait amputé le doigt. Peut être une explication du fait que la compagnie est assez masculine.



Une de nos guerriers , Mektubus est revenu essoufflé et harassé de son pèlerinage mensuel , il est venu a bout seul de deux pillard qui l’attaquait , et a ce moment la un troisième est arrivé , et s’est aussi fait tuer. Il faut croire que le désert n’est plus très sur ces temps ci.

Je viens d’envoûter l’équipement a Elmo et j’en suis très satisfait. J’viens de recevoir un cheval , et j’ l’ai appelé Tètdur , parce qu’il a la fâcheuse manie de foncer dans tout le monde , enfin bon maintenant qu’il s’est habitué a moi , ça va mieux.
Il bien un petit esprit « compagnie noire » sur les bords.


An 123 le 13° jour du mois du Mouton

J’viens enfin d’reussir a intercepter coran pour discuter un peu avec lui , j’lavais vu que brièvement de loin , ces dernier mois . Il est toujours aussi musclé , crasseux , et a quelques cicatrices supplémentaires , mais rien de bien grave pour un orque comme lui. Il m’a raconté qu’il a été libéré sa compagne prisonnière des templiers , et qu’au passage , avec son grand humanisme , il a permit aux prisonnier de guerre de diverses ligue de s’évader. Il a pesté bien sur parque Ao ne l’a pas encore payé , pour cette mission suicidaire.


An 123 le 27° jour du mois de la Tortue

Partout , on s’équipe et on s’organise , pendant que les travaux continue. J’ai constaté le retour d’Erowyde , ca tombe bien , c’est une des rares a part moi qui maîtrise la magie , et c’est la seule de notre compagnie a posséder de puissant sort de combat. Moi , j’en ai bien quelques un mais plutôt mineurs…

Le désert est calme , et aucune tension inhabituelle qui pourrait tourner a la guerre ne règne. Il y a bien eu quelques combats entre Nainporte et les hécateens mais c’est monnaie courante , et tout le monde s’y est habitué.

An 123 le 25° jour du mois de l Arbre

Mektubus galère pour rentrer dans la forteresse , je rigole en pensant aux ennemis qui tenteront d’entrer sous le feu de la légendaire compagnie. J’ai enchanté un paquet d’équipement pour Elnor , finalement il est bien sympa notre palefrenier , malgré mes aprehensions.

An 123 le 24° jour du mois du Spectre

Je constate que la compagnie prend grand intérêt a mon travail d’annaliste , et c’est une victoire. Les hommes aime souvent laissez une trace , car beaucoup ne croit pas trop en une vie après la mort.

Une nouvelle « Bizzy » reçoit actuellement son entraînement militaire de Tokko , c’est comme ça a la compagnie , les vétérans partage leur savoir faire avec les nouveaux.
Moi , j’ai appliqué quelques envoûtement sur les armes de Volesprit que Toubib est venu me déposer . Il avait l’air surmené , et pressé , mais concentré sur mon envoûtement pour le faire vite et bien , n’ai osé lui en demander davantage. Je suppose que c’est a cause des chantiers qui n’avancent pas , le secteur du bâtiment est connu pour ses retard du aux tempêtes de sables et autre pause prières , bon prétexte pour ne pas travailler.

Ce soir j’ai fait une soirée lecture ou j’ai lu le poème , les compagnons noirs consignés dans les annexes des annales , tout le monde a sembler apprécier ce poème qui est un ardent éloge de nos compagnons , tout en restant pour moi très proche de la réalité. Même Coran en a laissé brûlé son morceau de viande , ce qui est un grand compliment pour mon texte , lorsqu’on sait l’importance que celui ci confère a son repas. Mais ce dernier est déjà reparti , et pendant que je bois tranquillement , je me sens bien chez moi dans la compagnie au milieu de Toubib et les autres. Finalement on a du secouer Elmo qui était totalement bourré , pour qu’il trouve le chemin du retour a son lit , sans ca , il aurait pu finir aux hospices de Taps

[Annexe 1]

Les compagnons noirs
Toujours pleins d'espoirs
Toujours solidaires
De leur cause sont fier

Ils n'acceptent pas la soumission
Sauf pour le bien de la mission

Ils ne marchent vers le combat
Que lorsqu'ils ont un contrat
Ou un affront personnel à laver
Une dignité a garder

On murmure qu'ils n'ont pas d'ideaux
Mais moi je prétend que c'est faux
Le liberté les dirige
Leur condition les y oblige

Eux , ne s'entichent pas de fausses valeurs
Dont font tant de cas les beaux parleurs
Eux ne défendent que l'amitié
Et jusqu'a la mort sont soudés

Lorsque leur armée marche au combat
Cheminant sans peur du trépas
Lorsque les compagnons sèment la mort
Fauchant par douxaine les corps

Les compagnons pleins de courage
Déversant toute leur rage
Canalisée ,organisée , et dirigée
Vers leurs ennemis paniqués

Lorsque la victoire retentit
Et que les poches bien remplies
Les compagnons rentrent chez eux
Ils ne se reposent que peu

Avant de repartir en guerre
Avec de nouvelles ambitions guerrières
Rien ne leur fait peur
Ni l'épuisement , ni la douleur

Mercenaires ils sont , et mercenaires ils resteront
Leur simple nom continuera de faire trembler les nations
C'est la compagnie noire contre le reste du monde
Il en est ainsi , et il en a toujours été ainsi.

[fin annexe]
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Laucian

Cet adept fonda Metalicana durant les premières années d'adept. Il y dévelloppa une politique non belliqueuse et fonda le culte de Marfa, l'une des déesses de l'ère première. La ligue se vit accueillir de nombreux adeptes de cette philosophie pacifique et elle perdura de longues années. Sa ligue se démarquer par un système social performant et une police discrète mais très efficace.
Malheureusement, la chance tourna lorsque Tenebrae monta en puissance. Metalicana fut désertée pour des ligues plus militarisés. Finalement, Laucian rejoignit le coeur lourd l'ordre des chevaliers-dragons de Pern. Il s'éteignit quelques années plus tard et son héritage se perdit. Nombreux furent ceux qui le regrettèrent.

Ses fidèles tentèrent de maintenir le culte de Marfa, une fois sous forme de sanctuaire indépendant, une autre fois dans un mouvement pernien sans succès mené par Guidrion Darkhammer et Glorfindel Ailedragon.
Sa cité ne vivat guère plus longtemps que son créateur. Elle se vida après la fusion avec Pern puis servit d'abri pour les réfugiés et les chevaliers-dragon en déroute lors de la chute de la cité blanche sous les assauts des templiers d'Hécate.

Il resta dans les mémoires comme un pilier d'une idéologie pacifique.🕬