retour de chez les morts

[/b]No… l’arbre… chier…pas d’accro… [/b]

Je me relevais d’un bon et… p’tain que ca fait mal… les poumons qui brûlent d’avoir chômer (bande de feignasse) les membres engourdis d’avoir eux aussi je voyais a moitié clair aussi… enfin bref, quand le chat n’est pas la, les souris pieutent, bah mon corps il avait fait pareil sans mon âme.
Il avait rien foutu, pffff on peut plus se faire confiance a soit même de nos jours.

Quand les p’tit vieux dise « C’est n’tre corps qui nous trahis… » Bah j’pourrais leur parler du mien.

J’mis trois plombes a me lever… en fait le seul truc qui marchait c’était mon nez, ça puait grave l’encens et la cire. J’avais envie de vomir mais avec la dalle que j’avais…

je réussi quand même a gerber partout. (saleté d’estomac)

Si ça continuait comme ça on allait m’appeler Belette la gerbouille. Apres avoir rebaptiser plusieurs fois le lieu, je trouvais entre les bougie des cuves d’eau dites « bénites » et des toges blanche… je me débarbouillais en remarquant que j’avais mes fringues de fille laucienne recousues.
Vu les points de couture ça sentait le travail de la Favole, mais au moins ça me rassurait que ça soit elle, ça voulait dire que personne ne savait… pour… mon entre jambe… j’allais encore pouvoir me faire passer pour Ely Turner, ouf.

Je sorti vers la lumière ( même si c’était très déconseillé en forme de fantôme). Je me retrouvais au porte du temple abandonné, pas loin des ruine de ce qui restait du Bastringage.

Un peu hagard, je cherchais désespérément m’dame Oronais, mais a part des restes de cadavre et des détritus ( si la minuit voyait ca elle serait folle), y’avait plus rien que des ruines fumantes.

Un peu paumé, je me mis a courir dans le désert, combien de temps, j’sais pas… mais en arrivant devant chez les hippies je me demandais encore ce que je foutais là.

De toute façon , j’avais pu de bateau… j’avais foiré pour me faire remarquer du c’ptaine… et j’savais pas ou était dame Oronais…

Un peu de plante qui faisaient rire serait pas un luxe.
édité au tour 2011 par JimHawkins


RE: retour de chez les morts

Edonis
Edonis était dans sa maison, depuis la fin des combats il ne sortait pratiquement pas, dépité de ce qu'il s'est passé...
Alors qu'il était tranquillement sur une chaise à éplucher des patates...attendant un retour de Jim, il ressentit de nouveau un frison dans le dos !
Il redoublait d'effort, il fallait que les patates soient prettent, même plus, que le repas soit prêt pour le retour de jeune Jim !
Edonis se sentait bien, il sentait que son ami allait bientôt venir !

Edonis était un corsaire qui était connu pour être le plus audacieux et le plus intrépide des pirates des mers. Il avait navigué sur les océans les plus dangereux et les plus lointains, pillant les navires ennemis et amassant une fortune incroyable. Un jour, Edonis et son équipage naviguaient vers une nouvelle destination, mais ils ont été pris dans une tempête violente qui a brisé leur bateau en morceaux. Les survivants ont réussi à atteindre un petit radeau de sauvetage et ont navigué pendant des jours, jusqu'à ce qu'ils atteignent le désert brûlant d’adept. Ils ont marché pendant des heures sous le soleil brûlant, sans trouver d'eau ou de nourriture. Bientôt, ils disparurent tous sauf Edonis. C'est alors que quelque chose de mystérieux s'est produit. Le corsaire a commencé à entendre des voix étranges qui semblaient l'appeler par son nom. Au début, il a pensé que c'était le désert qui le rendait fou, mais les voix ont continué à le guider vers une oasis cachée, où il a trouvé de l'eau fraîche et des fruits succulents. Edonis commença alors la construction de Puerto Adept, ce lieu d’où il pourrait repartir en quête de rapines et de contrats. Sa mission désormais, était de retrouver un équipage, et partir à la conquête de ce désert.

RE: retour de chez les morts

editer suite a la demande de mon gourou

mais pour pas laisser un post pas beau, je vous propose un interlude musicale:



"Au pays des hippies
Comme dans tous les pays
On s'amuse on chante on rit
Il y a des drôles et des gentils

Et pour sortir des moments difficiles
Avoir du chichon c'est très utile
Un peu d’acide, et de teuchi
C'est la vie des hippies

Mais ils rêvent et ils imaginent
Tous les soirs en chantonnant
Que les p’tites fleurs des collines
Viennent dans le ch’veux joliment

Pour chasser, leur ivresse
ils cherchent d’la guiness
bourrés et défoncées
Toujours petés
C'est hippie, hippie"
édité au tour 2014 par JimHawkins


RE: retour de chez les morts

JimHawkins
Bon l’retour avait pas été sensationnel, la plus part des hippies avaient été trop imbibés pour voir que j’étais parti. Y’a que m’sieur Edonis qui avait l’air un brin content. Mais bon, entre leur plantation d’herbe et leur tentative de faire des murs droits… pas la peine de dire que l’arrivée ou le retour de la sois disant femme de m’sieur Edonis passait carrément inaperçue.

Bon ayant l’air d’être un(e) des rares a pas avoir les yeux trop rouges, on me fila même un plan de construction et une équipe a chapoter. Franchement, j’avais une tronche de macon ?

Moi j’tais un mousse, première classe…enfin que je massacrais pas l’équipage, en plus ces râleurs d’hippies préféraient fumer dans les champs plutôt que de m’écouter. Mais qu’est ce que je foutais dans ce rafiot !!

J’faisais une p’tite pause en chantonnant l’hymne du pays et en me disant que je pourrais gagner un max en lançant un cercle de défoncés anonymes… le soucis serait qu’il y a trop de personne éligible ça serait le bordel.



P’tain que c’etait chiant la vie de hippies… le gourou… bah un vrai gourou… mais un gourou c’est loin d’arriver au cheville d’un c’ptaine.
Pis qu’est ce que je foutais là, merde !

Y’avais même pas d’eau !

Ca puait le crottin de cheval et les engrais bio ( les hippies luttent contre les OMM, organismes magiquements modifiés)

« Don't worry, be hippie » (citation de la sage Sirianus dans ses trop rares moments de lucidité) ouai bah c’etait pas ça la vraie vie. Et pis Si Sirianus n’avait pas dit que des conneries, bah p’être que ce ou cette philosophe serait là pour m’en parler pour de bon !

Ce qui mis le feu au poudre, ce fut une lettre, une jolie lettre, en réponse a celle que j’avais envoyé, belle écriture, papier de qualité, encre parfumée… mais sens sinistre.
Je faillis m’étouffer avec une vogiesnne en lisant ça (une arme hippie très perfide responsable de nombreuse mort ).


« QUOOOOIII !!! ELLE A OSEEEEEEEE !!!! SALE VACHE QUI PUUUUUUUUUUUE !!!!!! »

En rage, je bouffais la lettre ce qui me valu de manquer d’être étouffé une nouvelle fois ! Si elle croyait s’en tirer comme ça !
Ecarlate ( étouffement + colère ça fait plein de couleur en passant du bleue a l’écarlate)
J’allais voir le gourou, lâchant mon chantier.
Je fis un effort d’interprétation digne d’un acteur professionnel avec une excuse en béton :

« Hum je viens de recevoir une lettre de la voisine de la grand tante du mari de la sœur du beau frère de ma cousine issus de germaine et dont la p’tite chatte est gravement maladeuh…
Je suis mort…teuh, d’inquietudeuh

Je ne puis resté ici alors que cette petite chatteuh me réclame avant de paumer sa neuvième vie…»


Bon j’essayais de prendre un air crédible, mais c’est vrai que l’arc a la mains je pouvais laisser planer un doute…
édité au tour 2014 par JimHawkins