le vent regonfle les voiles

Voici bien des lunes que le loup de mer que j'étais n'avait pas fait surface sur ce desert. Je venais de me retiré pour une campagne en mer, pensantoublier bastringage une fois en mer. il n'en était rien. Le capitaine Renart avait gravé le nom de son équipage bien plus profondement que sur ma peau.

J'étais donc de retour sur ces rivages, envoyant en tout lieu ce message.

Durzak qui passait par là fut heureux, mais néanmoins intrigué de voir quelqu'un dans ce maudit désert.

En s'approchant, il vit le tatouage bastringue au bras de l'homme.

Olà mousaillon, je vois que tu es bastringue, mais pas saoûl... Etrange.

Pourtant il me semble déja t'avoir vu quelque part, mais je ne saurais en jurer, quoi qu'il en soit. J'ai bien peur de ne

pas pouvoir t'aider, il me reste tout de même quelques réticences par rapport aux bastringues... Par contre, si tu

cherches un quelconque endroit, là je peux te renseigner... A toi de voir

Je m'approchie de la créature brusquement!! les yeux rivés sur lui m'arretant presque nez à nez.

dis donc toi, qui c'est que t'appelle moussaillon. hein!!!

Puis je sortis de ma baoule deux godets de ma baoule, une bouteille de rhum 15 ans d'âges et m'assis sur un roché à coté. et en servant les verres...

si tu ne peux pas m'aider sur ma première recherhe tu va peux être m'aider la dessus. J'ai ouïe dire que les mur de notre caserne avais été remonté et qe quelqu'un y avait élu domicile. c'est qui ce bougre!!! hein, allez assis toi deux minutes bois un godet et raconte au loufiat ce que tu sais.

Aaaah, ben là tu sais me parler, je suis le tavernier du Parti Laucien...

Il est clair que des gens ont élus domicile sur ton territoire, je ne sais point s'ils y sont encore... J'ai ouï dire qu'il s'agissait d'une ligue vénérant l'attirant arbre de la corruption... A ta place l'ami je ferais attention...

Délicieux ton rhum, goûte moi ceci, une bonne bière bien fraiche en plein milieu du désert ca ne peut pas faire de mal ...

J'englouti mon verre de rhum d'un trait. et tendis mon godet avec un sourire jusqu'aux oreilles tel un enfant devant sa grand-mère avant la donne du petit billet.

Tavernier, dis -tu? et t'aurais pas besoin d'un serveur c'est temps ci???

Je t'aiderai gentillement à barrer ton affaire, et moi en contrepartie je rencontrerai surement assez de monde donc retrouverai quelques traces des personnes que je cherches.

Hein qu'en dis-tu mon gaillard?

Ahaha, bien sur que ca me dit, tiens je te donne tout de suite co-tavernier ...

On fête ça !

Ahah bien dit

Peu de temps après alors que j'arpentais encore le désert à la recherhce de futur flibustier, j'attéris un soir au porte d'une ville qui m'étais inconnue, elle n'était pas présente avant ma mort, et pourtant elle paressais vielle de 100000 ans.

Les portes de la villes étais ouvertes et une odeur de pourri régnait ici. Les volets en bois grinçaient comme la coque d'un batiment de guerre echoué.

Au fur et à mesure que je m'avançais je me sentais observé mais pas par une personne. Une âme certe mais pas un humain...

Comme d'habitude ma curiosité ma poussé à faire sortir le congre de son trou... ainsi j'utilisi une technique bien fréquente. comme à la pêche j'ai utilisé un appât. et le meilleur appât que je connaise c'est le rhum ou la bière.


Je m'assis sur un petit muret, et sorti deux godet en bois de ma baoule. Je les remplis de rhum et m'exclama:

[i] Je n'ai pas servi deux verres pour trinqué avec les mouches....
sort donc de ton trou et viens donc partager le verre de l'amitié.

Le Corrupteur n'était plus.

Cela faisait un moment qu'il avait disparu, et son emprise sur le spectre déclinait chaque jour. Au début il l'avait cherché, sans résultat ; puis il s'était mis à chercher La Faim et La Soif, mais il fallait croire qu'ils avaient suivi les traces de leur maître, où qu'elles aillent.

Petit à petit, alors qu'il errait dans la cité d'Helldorado, des souvenirs de son ancienne vie lui revenait. Ces souvenirs rentraient en contradiction avec la personnalité qu'il avait depuis sa corruption. Cela donnait un beau bordel dans sa tête, il aurait sûrement eu un beau mal de crâne s'il était fait de chair et d'os. Ca faisait un problème de moins, c'est déjà ça.

Toujours est-il qu'un beau jour il aperçut un être s'introduire dans la cité. Ce n'était certes pas difficile vu qu'elle était à l'abandon, mais le nain s'était fait un plaisir d'occire tous les opportuns qui y étaient entrés(ça avait au moins le mérite de plaire aux 2 personnalités qui se battaient pour le contrôle du spectre).

Cependant, cette fois quelque chose le retint d'attaquer. L'allure de ce personnage lui semblait familière et il décida d'attendre un peu pour voir ce qui allait se passer. Le petit être s'assit alors sur un muret, et sortit deux godets qu'il remplit d'un liquide. Ce geste bien qu'anodin eut un effet incroyable sur le nain, aidant son ancienne personnalité à revenir au galop.

Je n'ai pas servi deux verres pour trinqué avec les mouches....
sort donc de ton trou et viens donc partager le verre de l'amitié.

Ainsi il avait senti sa présence, ce n'était pas donné à tout le monde. Il décida de se montrer, il traversa un mur et apparut dehors, en face de l'inconnu. Alors qu'il avançait vers lui, sa hache à la main, l'inconnu n'avait pas idée du conflit intérieur qui se passait dans l'esprit du spectre(il faut dire que les spectres ayant un dédoublement de personnalité ne son pas très courant).

Son ancienne personnalité voulait savoir qui était cette personne qui lui était si familière, et l'autre ne désirait que tuer l'intrus. Cette dernière pris le dessus un instant, le nain leva sa hache et la lança sur l'intrus. Heureusement pour lui, un éclair de lucidité traversa l'esprit du nain :

Inconnu tenir boisson + moi tuer inconnu = inconnu laisser tomber boisson
=> boisson tomber par terre = SACRILEGE

Ce bref sursaut permis au nain de dévier son tir, suffisament pour que la hache aille s'écraser légèrement à droite de l'homme. Heureusement les boissons étaient sauves.

Il s'avança vers l'inconnu, qui avait fait preuve d'un calme remarquable, et lui dit :

J'ai l'impression de te connaitre, qui es tu?

je restais ébailli, comment un ostrogo pouvais louper une cible fixe à 5m????? J'avais les yeux grand ouvert les globes auraient pu tomber.

triple boulet de 12!!!! Mais t'es pas bien toi t'aurais me faire sursauté avec tes betises.

Je suis Penn-duick ar Penn ar Bed capitaine pirate, sans navire de ce nom mais ça va venir, sans équipage mais ça va venir, et sans femmes, mais sava.... heu ... heu enfin bref!

* elança un sourire commercial*

Mais j'ai du rhum du bon! prend ton godet mousaillon, et puis approche toi au lieu de rester a 5m au moins si tu recommence à vouloir me tuer tu aura une chance de réussir... ou pas

Le nain s'approcha, sa "mauvaise partie" avait décidé d'aller faire un tour, mais elle pouvait revenir à tout moment.

Je te remercie pour le verre, cependant vu mon état je risque de ne pas en profiter pleinement. J'arrive a faire certaines choses que la plupart des spectres ne font pas, mais j'ai malgré tout mes limites.

Le ton sur lequel il avait dit cette phrase dénotait une certaine tristesse. Il se saisit du godet, à la grande surprise de Penn Duick, mais il ne put se résoudre à le porter à ses "lèvres". Le contenu se serait retrouvé par terre.

Excuse moi pour le lancer de hache, je ne suis pas vraiment moi même ces temps-ci. Et c'est comme ça depuis un bout de temps apparement. C'est un peu le bordel la haut dit-il en montrant sa tête donc je te prie de m'excuser si jamais je me met à te sauter dessus pour te tuer.

Il reposa le godet et examina son interlocuteur.

Tu m'es familier, t'aurais-je déjà rencontré, avant... Navré mais le peu de souvenirs que j'ai sont un peu flou et mélangé, mais ceci pourra peut être t'aider.

Il montra son bras, sur lequel commença à apparaitre un tatouage. C'était le tatouage des bastringues, le nain savait qu'il était important même s'il ne se souvenait pas totalement de sa signification ni du moment où il l'avait reçu.

Un perroquet arriva auprès de Penn Duick il avait un petit air apeuré, voir terrifié, en y regardant mieux il semblait qu’il avait été mordue par une bête sauvage.
C’etait visiblement un perroquet du coco express, l’un des rescapés de ceux qu’avait lui même apporter le très vénérable et vénéré c’ptaine Renart.






Le perroquet se posa a distance avec un air méfiant :

« Coco ? Coco message coco…

P’tain ca marche comment déjà c’truc… hey reviens j’ai la dalle… oh ! tu m’ecoute plumeau de mes biiiiiiiip bon bah rend toi au moins utile vas dire au autres que j’ai une course a faire, enfin j’ai des envies, non dis pas ça… enfin si, mais pas comme ça… Oh bordel c’est ou la touche reset sur ce bidule… bon je recommence, dit salut c’est moi je reviens mais je repars, enfin je compte revenir, faut que j’aille heu… bah voir les hippies pour … heu… et puis crotte on s’en tamponne. Je reviens des que je peux, prenez pas le large sans moi !
Bon je commence par quoi chercher mon cÂœur ou les hippies ?

HeyÂ… chouette des vautourÂ… !!!

Fin message coco… »

Le volatile se pencha pour réclamer ses cacahuètes en récompense mais gardait l’œil bien ouvert au cas ou.
Il avait délivré son message enfin le message sans queue ni tête d’un abruti qui n’avait même pas pensé a signer et avait essayer de le bouffer.

Quand le volatile apparu à mes cotés ce fut le combat habituel pour recuperer le message. La bestiole ailée se posa en face de moi et me fit des signes de tête en criant:

coco message coco message au cap de veau

- Aller déboule tes salades de mer la mouette

Coco apéro coco apéro

Niet nada quedal mon gars, tu donnes le message et après tu boiras

Cap de veau sa... cap de veau sal...

Espèce de fiante de goëland tu le craches le morceau au lieu de m'insulté

c'est à ce moment précis que le combat commencis. Le perroquet me regardais droit dans les yeux. Je pris ma bouteille de rhum la déposis entre nous deux et posa la main à côté. si il arrivait à toucher ma main du bec un plus grand nombre de fois que moi je lui foutais une baffe il avait gagné.


Une goutte de sueur sur le nez je regardais l'animal,
scrach ce saligo m'arracha un beau de peau

re scrach un deuxieme

avant qu'il est tenter une troisieme attaque je l'ai chopé par le coup et lui décrocha une dizaine de claques.

voila t'a perdu. donne le message sinon c'est ton sang que je buvrais [i]

[i] couattt Tricheur au giiiibet cap de veau au bourro...

déballe ton sac poisson fris

Du mousse Jim hawkins

Coco ? Coco message coco… P’tain ca marche comment déjà c’truc… hey reviens j’ai la dalle…

........

Quoi le fillo de retour lui aussi. v'là que le vent tourne à notre avantage. c'est décidé je remonte un équipage, et me remet à la recherche des trésors.

je serais le nouveau Cap de veau... capitaine Penn-duick ça sonne bien, va juste me falloir un surnom .

De plus j'ai trouvé deux bon allier, Dwalin et Jim... Il va falloir leur rendre forme humaine mais j'ai bien une idée pour ça.

Dwalin sera mon second et Jim mon Premier maitre.

bref on s'organisera plus tard.

coco message à JIm:

"
POG MO THOIN mon fillo, je vois que tu es en vie. Je viens de retrouver dwalin et remonte un équipage. si tu veux toujours retrouver ton père et devenir un grand pirate comme lui rejoin moi au plus vite dans la ville fantôme de helldorado.

fin du bavardage.

et tu déclares Capitaine Penn-duick "

Aller Rapporte ça au plus vite au gamin.

mais avant de partir ta le droit a ton godet. Mais je te préviens si ta un trou de mémoire je t'acroche au hunier lors de la prochaine tempete et ensuite quand tu sera bien lessivé par le crachin je te fai trainer dans le sillo au bout d'une corde histoire de rinçer ta bétise.


de plus Si tu me ramèmnes sa loutre au gamin, tu auras le droit à ton tonneaux de bière..

venduuuuuu

ni une ni deux l'ostrogo vida la fiole devant lui et reparti aussi sec de là ou il venait.

Bon maintenant à toi le truc visqueux, trinquons au retour du nain ayant un gosier aussi profond qu'un olyfant.

édité au tour 2231 par PennDuick édité au tour 2231 par PennDuick

OK pour trinquer, met ça sur ma note pour quand je retrouverai ma forme nanesque. dit le nain.

Il semblait songeur, comme si quelque chose le préoccupait.

Tu devrais faire attention, cela fait longtemps que je n'ai pas vu Jim, cependant la dernière fois que je l'ai vu, il n'avait rien en commun avec le filleuil que tu as connu. je ne sais pas comment il sera quand il sera là, mais sait-on jamais, il se peut que tu ai une mauvaise surprise.

Puis le nain continua a lorgner sur les boissons posées à côtés de lui. Bon sang ce que ca lui manquait d'avoir une bonne bière ou un bon vieux rhum qui descendait le long de son gosier...