VayneMackaria

"Mon nom est Vayne Mackaria. J ai vécu pendant trente-sept ans à Bayens, cette ville infecte et anarchique. Enfin, je suis moi-même peu agréable si j en crois mes informateurs... J ai jusqu ici été enquêteur, garde du corps, informateur et voleur en période de vaches maigres. Les politiciens aimaient m engager pour faire tourner leurs petites affaires. Je suis excessivement discret dans mes affaires et je n aime pas qu on en sache sur moi. Je regardais autre part quand il lançait leur hommes. Je savais bien que ca n aurait servi qu à risquer ma vie. Ils ont le bras plus long que le mien. Cette vie m a jusqu ici dégouté. J ai les mains aussi sales qui si je tuais moi-même pour un oui ou pour un non. personne ne peut garder les mains propres dans les bas-fonds même en ne faisant rien, surtout en ne faisant rien... L année de mes trente-sept ans, j ai bien failli mourir. Un mage fou est descendu dans les bas-fonds, ivre de rage. Sa fille aurait été tué par un homme de main. Il a voulu la venger et il a comemncé à faire sortir, on ne sait comment des nuages de gazs rouges du sol. Les gens suffoquaient tandis que lui riait au éclat. J ai pu m échapper en plongeant dans la rivière boueuse. J en suis ressorti vivant mais à quel prix? J étais un des seul survivants de cette tragédie. Cent-cinquante morts parmi les cent-soixante civils de ce quartier. Je n ai jamais cherché à savoir qui étaient les autres. J ai fui avec mes séquelles. Mes yeux étaient devenus rouges et je ne pouvais plus voir correctement. Je ne voyais plus certaines formes De passage dans un temple, j ai remarqué que le verre rouge permettait de supprimer cet effet. Mes économies, la seule chose que j avais sur moi cet affreux jour, sont passés dans mes lunettes. Ce n était pas tout. J étais pris de toux ensanglantée chroniques et aucun guérisseur ne pouvait rien pour moi. Les gens me fuyaient depuis que l accident s était su. Je voulais quitter cet enfer qu était devenu Bayens pour moi. Le hasard voulait que le jour où je pris la décision de partir je tombait sur une vieille affiche. Elle racontait une histoire de volonté de créer un asile de paix dans adept. Le chef était un politicien que j avais rencontré des années auparavant, un elfe du nom d Ilsem Nathaniel. Il faisait partie des rares politiciens qui n étaient pas rongés par la folie du pouvoir. Je me suis dit que cela ne couterait rien de partir là. Rien ne sera pire que de continuer à me faire hanter par les fantômes du quartier massacré. Advienne que pourra."