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Pas de personnage Earendil
Tour : '15'
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Tour : '15'





"Prénom : Earendil
Race : Elfe
Divinité : (Ilya) Urdz Baal
Taille : 1m65
Poids : 50kg
Couleur des cheveux : Ebène
Couleur des yeux : Noir
Signe distinctif : Longue natte longue, haute et épaisse
Aime : Les cadavres
Déteste : Les hécatéens
Métier : Mord Sith (voir note)
Loisirs : Torture & médecine (paradoxal?)
Citation : «Approche, je ne vais pas te manger... Quoique...»"























"Vie Adeptienne

Le Royaume des Sables

A son arrivée dans le désert, ses pas la guidèrent vers le Royaume des Sables.
Elle y mena une existence des plus tranquilles, s’initiant à divers métiers : guerrière, bûcheronne puis médecin et assiégeuse ; ce fut donc une phase d’apprentissage, qui dura environ une dizaine d’années. Par suite, elle décida de se vouer totalement à la médecine, sa grande passion.
La population à cette époque plus limitée du Royaume et la discrétion de ses habitants la firent évoluer dans un monde solitaire, rendant service à qui lui demandait mais ne se mêlant pas au peuple, sauf lors d’une mémorable soirée à la taverne où elle fit la rencontre de Finrod (le Chef), de Peace (la main droite de Finrod), de Nihilarches (le Prêtre), de Dinendal (le Médecin), du nain Draken (un des fondateur du RDS), de Naruto (un ami de Draken), d’Isylwen (le fils de Naruto), de Zellion (futur gendre de Finrod) et de sûrement bien d’autres encore dont elle n’a plus le souvenir… Elle entretint aussi quelques contacts avec Pimento Warrior et Sylvaine, tous deux fidèles guerriers du Royaume ainsi qu’avec Hysala, la doyenne.
C’est peu après cet épisode qu’elle décida de se convertir au culte d’Ilya Urdz Baal, sous la houlette compétente de Nihilarches. La chance l’avait faite tomber dans la seule ligue du désert (à l’époque) priant cette divinité qui lui convenait tout à fait : elle n’avait jusque là entretenu aucun culte envers un quelconque dieu mais s’aperçut pendant son séjour au Royaume qu’Ilya Urdz Baal l’avait en réalité toujours guidée inconsciemment. C’est ainsi qu’elle devint une de ses plus fervents fidèles, vivant comme ceux du Royaume, le cœur partagé selon la balance divine entre Ilya, déesse Bleue, et Urdz Baal, dieu Noir.
Son existence s’écoula donc paisiblement, divisée entre son apprentissage de la médecine et du culte d’Ilya Urdz Baal, mais toujours dans la plus grande discrétion.
Une guerre vint alors modifier quelque peu sa vie de tous les jours : assiégée par les forces de la Compagnie Noire et de Babylone entre autres, la capitale du Royaume se vit rasée, brûlée, détruite. Grâce à Ilya, ses habitants furent épargnés : Morag, Genn, Finrod, Peace et d’autres étaient justement en train de construire dans le plus grand secret une nouvelle capitale, Az-Keldyr. Tous les fidèles non guerriers furent donc rapatriés là bas, Earendil faisait partie de ceux là. Elle fut donc en sécurité à Az-Keldyr et se fit une joie d’aider Morag à donner la dernière touche aux constructions. Plusieurs alliés vinrent les rejoindre dans la forteresse et c’est ainsi qu’elle fit la rencontre de Laurius, un vampire de 70 ans son aîné. Quelques paroles et coups de foudres plus tard, les deux nouveaux tourtereaux décidèrent de partir ensemble afin d’entreprendre un long voyage à travers les différentes ligues du désert… Earendil quitta donc le Royaume des Sables, laissant pour seul souvenir d’elle un petit mot sous la porte de Genn.

Le Voyage

Les deux amants prirent tout d’abord la direction du Culte sous blason Pélorien. Earendil avait une petite affaire à régler là bas : amener 20k de matériel à Mendragor (le Chef) pour la libération d’un membre du RDS, Draken. Une fois cette formalité réglée, avec plusieurs péripéties que nous n’évoquerons pas ici, le vampire et la jeune elfe se dirigèrent vers le Paradis Flamboyant, ligue Lokienne au nom alléchant. Ils partagèrent en chemin leur vie, leurs sentiments et leurs corps, sous l’œil amusé de Bill, leur unique cheval, offert à Earendil des années auparavant par Pimento Warrior qui s’était entre temps reconverti à l’élevage. L’attaque stupide d’une jeune succube sur la personne de Laurius permit néanmoins de pallier au manque d’une seconde monture, puisqu’en plus de récupérer son arc ils réussirent à capturer son cheval, rebaptisé Max.
Ils séjournèrent très peu de temps au PF car ce fut à ce moment qu’intervint Glacielle, la Dame de Glace : après s’en être pris à Pélor en enfermant entre autres Tharivor (le Prêtre de Pélor) dans une prison de glace, elle dirigea son courroux contre Loki, accompagnée de ses fidèles chevaliers et de ses Lézards de Glace. L’idylle naissante des deux amoureux à peine vécue pendant les quelques semaines passées dans le plus grand bonheur au PF dut prendre momentanément fin lorsque Laurius rejoint Selenia où toutes les troupes s’étaient réfugiées pour un dernier barrage contre les hostilités réfrigérantes qui envahissaient peu à peu tout le désert.
Lorsque Glacielle se retira enfin du désert, Earendil partit elle aussi pour Selenia, laissant derrière elle quelques connaissances du PF, notamment Pipluck (Cheffe), et promettant de revenir un jour. A Selenia elle fit la rencontre de Lucifel (Chef) et de Gale, retrouvant Zellion par la même occasion. Elle continua son apprentissage de la médecine, n’oubliant jamais Ilya Urdz Baal. S’interrogeant pendant quelque temps sur la possibilité de rejoindre ou non la Corporation Nihiliste, formée par Selenia, le Cartel et Darkwald, elle décida finalement d’y renoncer et grand bien lui en fit puisque celle-ci a aujourd’hui disparue. A Selenia passa t elle donc plusieurs années avec Laurius, jusqu’au jour où, alors qu’elle vaquait à ses occupations quotidiennes, l’ont vint la prévenir du suicide du vampire.
Cet évènement déchirant autant qu’incompréhensible marqua la fin du passage d’Ilya dans le cœur de l’elfe, pour laisser tout loisir à Urdz Baal de s’y développer...
Earendil rejoint alors les Les Gardiens de Mourruland pour y prendre un nouveau départ et même le retour de Laurius n’y changea rien."


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[url]http://www.jouer.org/adept/adept-Forumrp-cat0-art11801.html[/url]
[url]http://www.jouer.org/adept/adept-Forumrp-cat0-art11966.html[/url]






















































"Caractère

Urdz Baal est désormais en permanence dans son cœur… C’est cette facette de la divinité qui s’est imposée, prenant le pas sur Ilya lors de la mort de Laurius et plus encore lors de son retour. Earendil ne vénère cependant pas tous les aspects d’Urdz Baal, et, en réalité, en dérive un peu, voire beaucoup, le sens.
Earendil aime Urdz Baal pour sa représentation du Mal. Les quelques années qui se sont écoulées entre son départ de la communauté elfique, où elle vivait avant de partir à l’aventure, et son arrivée au Royaume des Sables, à ses quinze ans, ont laissées en elle une marque ineffaçable. Elle a rencontré puis fréquenté un homme brutal, pervers et dénué de toute forme de pitié. Earendil, pendant ces 3ans, s’est vue se faire frapper, violer, et torturer sans fin par ce Maître. Elle plongeait dans de longs abîmes de douleur qui ne finissaient plus et dont personne ne venait la sortir, préférant au contraire l’y enfoncer encore un peu plus, toujours plus. Elle était dans un perpétuel coma de souffrances, aussi bien physiques que morales, et peu à peu, quitta son tempérament premier, qui n’était que douceur. Car c’est alors que de la plus innocente compassion s’éleva la pire cruauté possible dans ce monde. Earendil se métamorphosa littéralement. Elle se mit à apprécier ces longues séances de torture où le sang arrosait sans fin les murs, et à en dispenser aussi. Elle se baigna dans le sang de son tortionnaire, qui le lui rendit bien, et, tous deux, allègrement, se laissèrent aller aux pires malversations qui puissent être, dans cet univers visqueux et glauque, celui du sang et de la souffrance. La rancoeur disparut bientôt complètement de l’esprit d’Earendil remplacée par un besoin avide et permanent de douleur. Le dressage de la jeune elfe réussit donc au-delà de toutes les espérances de son Maître, qui mis tout de même néanmoins en œuvre les phases suivantes, celle de l’observation de sa mère torturée sous ses yeux et celle du meurtre de son propre père. Epreuves auxquelles elle s’attela de tout son cœur, oeuvrant paradoxalement avec joie pour sa propre destruction…

Elle finit par tuer son Maître avec son propre Agiel - qu’elle garde désormais toujours au poignet et duquel elle se serre maintenant à ses propres fins, d’abord en souvenir, ensuite parce que c’est celui qui lui inflige la plus grande douleur lorsqu’elle le tient étant donné que c’est celui qui a servi à son dressage. Cette expérience, d’abord douloureuse puis pleine d’exaltation, lui avait ouvert les yeux. Elle aimait le Mal. Elle devait se consacrer à Lui. Car Il était tout pour elle. Le Mal était beau. La beauté du Mal… Elle adorait torturer à son tour de pauvres âmes innocentes. Cependant elle aimait par-dessus tout souffrir elle-même, qu’on la fasse souffrir. Elle aimait sentir les limites de sa stupide enveloppe charnelle et goûter à son propre sang, bien meilleur que celui des autres. Elle aimait souffrir, souffrir et se sentir vivante en souffrant. Elle était forte. Elle est forte.
Earendil est le Mal. Et le Mal est Earendil. Pas le Mal rouge, celui de la vengeance, celui de la peur ou de la colère, mais le Mal gratuit, le Mal beau, le Mal sadique, le Mal noir. Le Mal pur. Earendil. On ne peut pas évoquer l’un sans évoquer l’autre. Ils sont liés, à jamais. Elle le sent au fond d’elle, le Mal, tapi au fond de son âme, qui ne demande qu’à s’exprimer, à sortir et à frapper l’innocent et le pur. Elle aime l’invoquer puis l’accueillir dans son cœur, lui le Mal. Urdz Baal. Le dieu du Mal, la représentation de sa perversion la plus profonde."



"Puisse la lumière d Earendil,
notre étoile bien-aimée, vous guider lorsque toutes les autres lumières seront éteintes... pour le Mal... et Sa beauté..."

























Note sur les Mord Sith

Définition
Une Mord Sith, parce qu’il s’agit exclusivement de femmes, est tout simplement une personne experte en torture, puisqu’en plus d’être sa passion, c’est son métier. Ce sont des dominatrices qualifiées, des êtres dont le seul but est de vous faire souffrir, mais attention,très professionnellement.

Uniforme
On reconnaît une Mord Sith à son uniforme. Il est constitué de cuir et, du cou jusqu’aux orteils, la moule comme une seconde peau.
La couleur la plus commune est le rouge car, comme elles se plaisent à le raconter, on remarque moins les taches de sang sur un tissu de la même couleur ; néanmoins, un uniforme brun ou blanc existe aussi, surtout pour les rencontres officielles ou bien les évènements hors du commun (torture d’un personnage important etc…).
Cet uniforme s’agrémente de gants en métal, souvent hérissés de pointes, encore une fois cela dépend du rang de l’aimable torturé, qui servent à briser littéralement les os, histoire de rajouter un peu de valeur aux bon vieux coups de poings.
De plus, chaque Mord Sith porte pendant ses journées de travail une longue natte qui lui descend jusque dans le bas du dos.

Arme
L’arme de prédilection de la Mord Sith est l’Agiel. Il s’agit d’une tige mince de cuir rouge, un peu à la manière d’une badine d’équitation, si ce n’est que cette badine là est mortelle. L’Agiel est une arme magique, dont le seul but est d’infliger de la douleur.
Effectivement, d’une simple pression de l’Agiel contre la peau, on peut faire crier comme un porc grotesque le plus courageux des hommes, et briser des os en appuyant juste un peu plus longuement. L’Agiel ne peut pas être touché ou saisi sans infliger de la douleur.
En fait, le contact avec l’Agiel provoque instantanément la douleur, et plus il est en contact avec la chair, plus il fait mal. La Mord Sith peut alors laisser libre court à son imagination et changer tout à loisir l’intensité de la pression ou bien la méthode de pression ou bien les deux. De cette façon, un Agiel peut aussi bien infliger une « simple » douleur que provoquer un saignement ou bien briser un os. On peut même s’en servir comme d’un fouet mortel.
Pour finir, il y a certains points sur le corps où une application appropriée de l’Agiel peut tuer, tels que les oreilles, les parties génitales, les aisselles…

Histoire
Les Mord Sith forment un clan, dont les talents sont au service d’un Maître à qui elles sont entièrement dévouées. Le Maître les forme de façon à ce qu’elles deviennent de bonnes Mord Sith, dénuées de pitié et de tous sentiments si ce n’est la haine, la cruauté et l’indifférence.
On les élève très tôt, dés leur plus tendre enfance. Pour les dresser, on procède ainsi : on recherche tout d’abord des petites filles bonnes, douces et gentilles. Une fois une cible en vue, de préférence la plus agréable, la plus serviable et la plus généreuse de toutes, on la soumet à un test. On pénètre dans la maison familiale, on tue frères, sœurs et cousins avant de se saisir des parents. On met un couteau dans la main de la petite. Si elle hésite à défendre sa famille par peur et peur de faire mal, elle est sélectionnée (sinon on tue tout le monde et on passe à une autre maison). On l’emmène alors, avec ses parents qui seront utiles pour la suite.
Débute alors le dressage. Son rôle consiste à détruire la fille et à la rabaisser au rang d’animal sadique. On se sert alors de sa folie pour assouvir ses objectifs propres, souvent de nature diplomatique ou politique. Bref.
Ce dressage est constitué de trois phases, car pour être une bonne Mord Sith, il faut être brisée trois fois.
La première consiste à annihiler sa raison. Le Maître la torture de longues années durant, jusqu’à son adolescence. Il la bat en permanence, muni de son Agiel personnel, la fait saigner, lui brise un à un tous les os du corps et la viole sans relâche jusqu’à ce que la pauvre petite quitte le fil étroit de la raison.
La seconde vise à ravager sa compassion. Pour ceci, le Maître torture à mort sa mère devant ses yeux.
La troisième sert à la vider de toute peur de faire mal aux autres. Elle est tenue de torturer jusqu’à la mort son père pour réussir cette troisième épreuve.
Alors ensuite, elle accède au rang de Mord Sith, et peut enfin porter l’uniforme rouge sang qui la caractérise désormais.

Etat d’esprit
Une fois dressée, la Mord Sith est irrécupérable. Elle a été brisée trois fois, son enfance ressemble à un énorme cauchemar et elle est devenue littéralement folle.
Elle prend du plaisir à torturer les autres. Il est à noter que pendant toute séance de torture, la Mord Sith souffre aussi tout du long étant donné qu’elle tient en main l’Agiel qui fait souffrir la victime. Sauf que la Mord Sith en a vu d’autre et peut supporter n’importe quelle douleur physique sans même bouger un cil, ce qui en fait de plus de redoutables guerrières.
La Mord Sith torture donc son « petit chien » (terme désignant sa victime, toujours de sexe masculin) jusqu’à ce qu’il avoue tout ce qu’il sait, ou par simple plaisir de tuer, selon son caractère et ses attributions.
Morts
0
Dépouilles
4
Pixelicides
0
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